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- Tu fais corps avec moi, je fais corps avec la moto : bras autour du torse, genoux serrés contre le bassin. Si tu t’écrases sur moi au freinage, ce n’est pas grave, je dois gérer le poids de tout le monde (moto + toi + moi)
- Ton casque suit le mien : dans les virages tu continue à regarder mon casque.
- Un soucis (matériel à vérifier, peur, fatigue) ? Tu me fais une tape sur l’épaule, la cuisse, le torse ; je m’arrête en sécurité puis on cause.
- Tu as le droit de tourner la tête sur le côté, mais dans l’axe, c’est juste la tête qui tourne, pas les épaules.
- Tu montes (côté gauche) quand je suis prêt, stable et que je te dis OK. Idem pour la descente : on n’est pas sur un vélo.
- Si je serres tes mains autour de mon torse ou te fais une tape sur la cuisse, c’est qu’il faut t’accrocher !
Enfin ne pas oublier l’équipement B-C-B-G : Blouson - Casque - Bottes - Gants
Ceci est le meilleur article officiel que j'ai vu sur le sujet
Je vais faire une transcription de l'information officielle qui malheureusement n'est diffusée que sous forme d'image :
Comment bien porter son masque
À faire
- Avant de mettre ou enlever le masques, lavez-vous les mains avec de l'eau et du savon ou une solution hydro-alcoolique.
- Pour le mettre :
- Tenez le masque par les lanières élastiques.
- Ajustez le masque de façon à couvrir le nez, la bouche et le menton.
- Pour l'enlever : décrochez les lanières élastiques pour décoller le masque de votre visage.
- Il faut changer le masque :
- Quand vous avez porté le masque 4h.
- Quand vous souhaitez boire ou manger.
- Si le masque s'humidifie.
- Si le masque est endommagé.
À éviter
- Évitez de le toucher ou de le déplacer.
- Ne le mettez jamais en position d'attente sur le front ou sur le menton.
- Ne mettez pas le masque dans votre poche ou votre sac après l'avoir porté. En attendant de le laver, isolez-le dans un sac plastique.
- Attention : si vous êtes malade, ce masque n'est pas adapté. Demandez l'avis de votre médecin.
- Ce masque n'est pas destiné au personnel soignant.
Comment entretenir son masque
- Lavez le masque à la machine avec de la lessive. Au moins 30 min à 60°C minimum.
- Utiliser un sèche-linge ou un sèche-cheveux pour sécher votre masque, ou encore, le faire sécher à l'air libre sur une surface désinfectée.
Attention particulière
Ce masque ne remplace pas les gestes barrières. Il ajoute une barrière physique, lorsque vous êtes en contact étroit avec d'autres personnes.
- Lavez-vous très régulièrement les mains.
- Toussez ou éternuez dans votre coude ou dans un mouchoir.
- Utilisez un mouchoir à usage unique et jetez-le.
- Saluez sans se serrer la main, évitez les embrassades.
- Respecter une distance de 1 mètre.
Transcription des conseils de Pr Didier PITTET, Chef du Service de prévention et contrôle de l’infection des Hôpitaux Universitaires de Genève
- Il faut suffisamment de masques ; pour évider le "brigandage".
- Mauvais port du masque :
- il faut se laver les mains avant de mettre le masque,
- une fois mis, il ne faut pas le retoucher,
- il faut se laver les mains après avoir enlevé le masque.
- La distance sociale et l'hygiène des mains restent essentiels pour prévenir la transmission.
Hop, petit « c/c » :
- Le bon état d'esprit : chercher d'abord à voir la moto comme un loisir avant de le voir comme une contrainte boulot.
Pour avoir fait les deux, je peux confirmer qu'être en inter-file avec 10 mecs derrière qui mettent la pression car stressés pour arriver à l'heure au taff, ce n'est pas la situation idéale pour prendre son pied. - Ensuite pour le permis-formation… Ce que j'en penses c'est que ce n'est pas ça qui apprend à conduire une moto sur la route (que ce soit la formation 7h, le plateau (qui apprend seulement à découvrir le poids de la moto et vite fait ses capacités de freinage et virage), ou la route (qui roule pareil entre aujourd'hui et le jour de son examen ?)) ; la seule chose qui forme vraiment à la conduite, c'est conduire.
Y aller à son rythme, connaître ses limites à soi, celles de la moto et celles de l'environnement.
Et à chaque fois que l'on pense connaître une limite, on la repousse un peu (en gardant de la marge sur les autres), en faisant attention à son ressenti et s'ajuster. - Alors 125 ou gros cube ? C'est surtout une question de budget ; et pas dans le sens que l'on pense. Avec l'achat d'occasion on peut trouver des budgets similaires 125/GC (pour des prestations différentes évidemment), et l'entretien est à peu de choses près identiques.
En fait une formation 125 où on kiffe et on passe ensuite le GC aura coûté + que si l'on passe le GC direct (donc budget faible = GC direct — en perfectant pour tenir en <20h). MAIS rouler quelques milliers de km en 125 (ce qui est largement suffisant pour la plupart des besoins) donne une très bonne base d'expérience avant d'avoir un moteur de la puissance d'une bagnole entre les genoux et avec lequel on fait le 0-100 en 3 secondes (la vitesse max on en a rien à foutre ; c'est du même ordre de grandeur que celui d'une voiture) — N.B. le ratio poids-puissance d'une Kawa ER6 utilisé en moto-école, c'est le même que celui d'une Ferrari… - Enfin, question achat… réduire son budget moto pour investir dans celui équipement (=casque+blouson(coqué)+dorsale+gants+bottes+pantalon(coqué) — pas moins !). De toute façon la première moto est forcément sympa, quelque soit le type (custom, roadster, trail, supermot', …).
En prendre une pas trop dégueulasse et en prendre soin pour qu'elle ne décote pas trop, puis en racheter une autre plus tard qui correspond + à ses goûts (et on garde l'équipement similaire !).
"Voyager est toujours une excellente occasion de prendre des photos. Si tout le monde ne peut pas être un grand photographe …Read More"
Pleins de bons conseils ; notamment :
"Prendre quelques portraits de vous et ceux qui vous sont chers, c’est intéressant. Mais se faire prendre en photo devant un paysage, c’est s’assurer d’avoir en une seule photo un mauvais portrait et un mauvais paysage."
Intéressant ça :
« Bon vu ce que je vois depuis qq jours, je pense que ça mange pas de pain de donner 2/3 trucs de base de "vieux". Ça n'a rien a voir avec le pilotage ou le niveau, c'est perso, et peut etre un peu con ou évident parfois :
1/ accepter de "pas y être", y'a des jours ou t'es pas à l'aise
2/ ne jamais se forcer ou rouler au dessus de ses pompes
3/ Garder des distances raisonnables dans tous les axes
4/ se considerer comme invisible
5/ ne pas forcer pour passer
6/ toujours pouvoir freiner dans son champ visuel
7/ etre parano
8/ avoir bien en tete qu'a une sortie ou une entrée y'a toujours un con qui essaiera de forcer les voies
9/ en moto t'as pas le droit d'etre pressé, tu gagnes dejà bcp de temps, piqué a @qwertyjulien mais super vrai
10/ la route n'est pas à toi
11/ un peu de civisme rend la route plus cool
12/ penser que ça peut être ta mémé dans la voiture et que tu peux la surprendre
13/ ne jamais foutre la pression, a la fin tu perds toujours
14/ a moto, tu peux pas gagner au concours du plus con... meme contre une twingo
15/ le skill ne se mesure pas au différentiel de vitesse en interfile, sauf pour le suicide
16/ ecoute bien les "petites lumières rouges" dans ta tête... en général elle sont bien calibrées
17/ mieux vaut être un lâche vivant qu'un inconscient mort
18/ y'a aucune honte a se trainer la bite, suffit d'avoir de l'humour
19/ ne le dit à personne quand même... on sait jamais
20/ quand y'a plus de plaisir, il reste que la merde »
source : https://mobile.twitter.com/Motardie/status/997025469987016705
À compléter avec : https://orangina-rouge.org/shaarli/?vGaOBw et https://orangina-rouge.org/shaarli/?2G5p2Q
OBJECTIFS.
- Conserver un haut niveau de sécurité
- Ne pas perdre de membres du groupe pendant le trajet
- Ne pas occasionner de stress
- Ne pas générer de fatigue supplémentaire
- Conserver une vitesse moyenne raisonnable
Rouler en groupe nécessite la présence de motards expérimentés dont le rôle est d’assurer la sécurité du groupe. Ils doivent être capables :
- De rouler tout en surveillant le groupe, ce qui demande une extrême attention.
- De détecter et d’anticiper tout problème pouvant perturber le groupe.
- D’effectuer des manœuvres parfois difficiles, voire dangereuses (remonter tout ou partie du groupe, lâcher le guidon pour exécuter des signes, rouler vite, etc.…).
- De signaler instantanément et clairement tout événement susceptible de mettre la sécurité du groupe en danger.
DISPOSITION
Rouler en groupe implique le choix de la dispositions des participants :
- Soit en file indienne.
- Soit en quinconce.
Rouler en file indienne est à-priori à proscrire. Cette disposition peut malgré tout s’imposer sur des routes à faible trafic dont le tracé sinueux impose de prendre des trajectoires. La distance de sécurité doit alors être impérativement augmentée.
Rouler en quinconce permet d’augmenter la marge de sécurité entre chaque participant.
Toutefois, il ne faut pas pour autant réduire la distance entre chaque moto. La totalité de la largeur de la chaussée connexe au véhicule précédent doit être considérée comme occupée.
Cet espace supplémentaire ne sert qu’à offrir une visibilité accrue et à garantir une distance de sécurité en cas de freinage d’urgence.
Il est aisément compréhensible qu’il soit nécessaire de tenir sa position dans le groupe et de ne pas changer de côté sans cesse. Il est cependant possible de se décaler temporairement pour éviter un obstacle.
Lors d’un freinage d’urgence, il est impératif de conserver sa position car tout décalage peut entraîner une collision.
Sur route ou autoroute l’espace entre chaque moto doit augmenter. Ceci permet de profiter du paysage tout en limitant la fatigue liée à l’attention. Le « suçage » de roue est à proscrire d’autant qu’il entraîne un effet hypnotique annihilant la concentration et la vigilance.
En ville, cette espace est réduit pour disparaître totalement lors des arrêts tout en veillant à ne pas laisser (trop) de véhicules s’intercaler dans le groupe.
Le démarrage du groupe doit s’effectuer progressivement de façon à rétablir automatiquement le décalage.
Le pilote en tête du groupe – l’ouvreur – roule à gauche. A gauche, car s’il roulait à droite, tout déport vers la gauche (comme pour doubler, par exemple) impliquerait la modification de l’ordre de la quinconce dans le groupe. De plus, cette position permet de mieux observer la chaussée et ces alentours. En ville, il réduit légèrement l’allure lors du franchissement des feux verts, pour permettre aux autres de se re-coller et d’augmenter ainsi leur chance de franchir le feu.
CONSTITUTION DU GROUPE
Le groupe est constitué d’un ou plusieurs ouvreurs, des participants, de motos-balais et accessoirement d’estafettes. Le principe est de rouler « à vue »; c’est-à-dire qu’à tout moment, chaque maillon doit voir le précédent devant lui et le suivant dans ses rétroviseurs.
Les ouvreurs roulent à un rythme garantissant la continuité de la chaîne formée par le groupe. Pour ce faire, ils adaptent leur vitesse, non seulement en fonctions des éléments liés à l’environnement mais aussi en rapport avec la capacité des participants à les suivre. Par effet « d’accordéon », un rythme trop soutenu obligera rapidement la queue du groupe à rouler à une vitesse trop élevée générant un stress important. A contrario, une allure trop lente déconcentrera les motards et augmentera les risques de collision. Lorsqu'ils s'arrêtent, ils s'assurent de choisir un emplacement suffisamment vaste pour accueillir l'ensemble des participants sans perturber la circulation et risquer de nuire à la sécurité du groupe.
Le groupe se compose souvent de motards aguerris et de débutants. Il est préférable, si possible, d’encadrer chaque débutant par deux motards expérimentés.
- Le premier veille à ce que le novice reste en contact avec le groupe en augmentant ou réduisant l’allure en fonction du type de route et de la circulation. Il assure aussi sa sécurité lors des dépassements en s’assurant que son « protégé » pourra doubler l’obstacle avec lui.
- Le suivant, lui, veille à la sécurité en évitant qu’un autre véhicule vienne s’intercaler entre eux. Lors des dépassements sur routes rapides, il déboîtera avant le débutant, limitant ainsi le contrôle arrière.
- Le débutant, s’il bénéficie ainsi d’une attention toute particulière, propice à diminuer son stress et sa fatigue, n’est pas pour autant dispensé d’être vigilant, bien au contraire…
Une fois la répartition débutants/expérimentés réalisée, les autres participants prendront place derrière les ouvreurs.
Les motos-balais ont pour premier rôle de fermer le groupe, ce qui garantit, à priori, de ne perdre personne. Ils doivent donc parfaitement connaître l’itinéraire emprunté. Leur deuxième fonction est de récupérer les attardés ou les membres du groupe rencontrant des difficultés. Il sont alors à même de juger de l’importance du problème rencontré et de décider ou non de l’arrêt du groupe. Dans le cas où la décision est prise de ne pas arrêter la progression du groupe, il faut au moins qu’une moto-balais continue à fermer la marche; sinon, le groupe doit être stoppé en utilisant une estafette pour avertir les ouvreurs.
Les estafettes sont utilisées pour assurer la communication entre les ouvreurs et les motos-balais et réciproquement. Elles descendent ou remontent le groupe pour transmettre des messages ou des consignes. Elles reprennent ensuite leur place en tête ou en queue du groupe, suivant leur affectation initiale. Lorsqu’elles assurent leur mission, elles doivent être attentives à ne pas perturber la cohésion du groupe et à ne pas mettre en cause la sécurité des participants par des manœuvres à risques.
DÉPASSEMENTS
En groupe, le dépassement de véhicules est une manœuvre fréquente mais relativement dangereuse lors de laquelle il convient d’appliquer des méthodes très strictes en fonction de l’importance du trafic routier.
Dépassement sur route dégagée : Lorsque la circulation le permet, le premier motard qui dépasse le véhicule ne se rabat pas et conserve son clignotant gauche en fonction. Les motards suivants, doublent le véhicule et se rabattent en reprenant leurs positions respectives en quinconce tant que le premier maintient sa position avec son clignotant gauche activé. Si la sécurité ne peut plus être assurée, ce premier motard met son clignotant à droite puis se rabat. A ce moment, le groupe cesse de doubler puis reprend le dépassement, dès que possible, en répétant la même procédure.
Dépassement sur route à forte circulation :
- Dépassement d’un véhicule : Il s’effectue individuellement, par « sauts de puce » successifs en respectant les règles de sécurité habituelles.
- Dépassement d’une file de véhicules : Cette technique s’exécute en dépassant de un à trois véhicules à la fois ; le plus fréquemment on se limite à un seul véhicule :
- Le premier motard dépasse le véhicule et se rabat à droite de la chaussée de façon à laisser une place pour que le second motard puisse prendre place à ses côtés.
- Le second motard ralentit imperceptiblement pour augmenter l’espace entre les deux véhicules.
- Le premier se décale ensuite sur la partie gauche de la chaussée pour préparer un nouveau dépassement pendant que le second se déporte légèrement sur la droite.
- Le premier déboîte et commence à doubler le véhicule le précédant.
- Le second conserve sa position permettant ainsi au premier de se rabattre au cas où il devrait renoncer à son dépassement.
- Juste au moment où le premier motard va achever son second dépassement, le troisième motard dépasse à son tour et se positionne à gauche du second.
- Le second motard accélère légèrement tout en croisant avec le troisième pour se positionner à gauche, derrière le véhicule qu’il se prépare à dépasser.
- Le processus de dépassement recommence alors et ainsi de suite…
Si cette procédure n’implique qu’un dépassement une fois sur deux pour chaque motard, c’est celle qui garantit le maximum de sécurité au regard de la rapidité et de la complexité de la manœuvre
Dans tous les cas, le groupe de tête doit adapter son allure et ne reprendre la vitesse de croisière qu’après s’être assuré que la totalité des membres du groupe a réussi à dépasser le ou les véhicules. Pour les groupes importants, l’utilisation d’une liaison radio entre les ouvreurs et les motos-balais prend ici toute son importance.
Lors de chaque dépassement, les pilotes expérimentés feront preuve d’une attention toute particulière envers les motards débutants.
INTERSECTIONS ET EMBRANCHEMENTS
Tout changement de direction doit être anticipé. Les ouvreurs indiquent, bien à l’avance, la route à suivre en actionnant leurs clignotants. Chaque membre du groupe doit aussitôt répercuter ce signal. Cela est nécessaire pour ne pas perturber la cohésion et l’allure de la colonne de motards.
Remarque : Il arrive parfois (surtout en ville) que d’autres motards, étrangers au groupe, s’immiscent et s’intercalent dans ce dernier puis roulent à la même allure. Une confusion peut alors se produire lorsqu’ils vont quitter le groupe. Il convient donc d’être particulièrement vigilant lorsque ce cas se présente et de toujours bien identifier ses proches compagnons de route dès le départ (moto, couleur du casque et des vêtements, etc.).
COMMUNICATION ET SIGNALISATION
Communication :
Il est indispensable que les motards qui assurent l’encadrement du groupe soient possesseurs de téléphones portables et qu’ils consultent leur boîte vocale lors de chaque arrêt. Tous les membres du groupes doivent connaître leurs numéros.
Le système idéal est celui de type « intercom » spécialement développé pour les liaisons radios entre motards.
Le principe du téléphone du portable équipé d’un kit « mains libres » avec décrochage automatique et oreillette-micro peut aussi convenir, bien que la liaison ne soit pas permanente comme avec un intercom.
Signalisation :
Avant le départ, les organisateurs s’assurent que tous les participants ont leurs feux de croisement et arrières opérationnels. Ceux, qui par malchance, sont en défaut d’éclairage seront intégrés au sein du groupe mais ne prendront place ni en tête, ni en queue.
Les feux de stop sont utilisés par saccade pour attirer l'attention lors de toute modification importante de l'allure (effet de flash). Les pilotes qui conduisent essentiellement au frein moteur allument brièvement leurs feux de stop en entrée de courbe pour signaler leur ralentissement à la moto qui les suit.
Les clignotants sont systématiquement utilisés pour indiquer tout changement de direction ; c’est-à-dire lors des démarrages et arrêts, dépassements et rabattements, changements de file et d’orientation aux intersections, etc.
- Appels de phare simple avec clignotant gauche : attention, je vais doubler.
- Appels de phares avec klaxon et clignotant droit : arrêt immédiat.
- Appels de phare avec klaxon :ralentir, continuité du groupe compromise.
Les signes de la main :
- Feux de route éteints : index vers le destinataire du signe avec, ensuite, poing fermé, puis main ouverte avec les doigts écartés, plusieurs fois.
- Ralentir : main à plat vers le bas, plusieurs fois.
- Ravitaillement en essence : poing ferme avec le pouce en bas vers le réservoir.
- Danger sur la chaussée : jambe gauche ou droite vers le bas en fonction de l’emplacement du danger sur la chaussée (trous, gravillons, boue, débris, etc.…).
- Arrêt immédiat : bras levé paume avec la main ouverte.
- Inverser les positions en quinconce : index vers le destinataire du signe puis vers soi, plusieurs fois (à utiliser lors des dépassements par exemple).
CONSIDÉRATIONS ESTHÉTIQUES
L’aspect esthétique est important dans le sens où il participe activement à la sécurité du groupe.
Pour que la procession procure un effet visuel agréable aux yeux des participants et des observateurs, il est nécessaire de rouler sans heurts, c’est-à-dire sans variations d’allure importantes, tout en maintenant une distance de sécurité égale et constante entre chaque moto.
Toutes les manœuvres effectuées doivent être anticipées pour être clairement connues de tous.La discipline étant de règle, aucun comportement ne doit entraîner de surprise.
Il faut respecter au maximum, en terme de discrétion et de nuisance, les lieux traversés et gêner au minimum la circulation normale.
- The world is trying to keep you stupid.
Le monde essaye de te rendre idiot. - Do not have faith in institutions to educate you.
N'ais pas confiance envers les institutions pour t'éduquer. - Read as much as you can.
Lis autant que possible. - Connect with everyone, all the time.
Conserve un lien avec tout le monde. - Don’t waste time being shy.
Ne gaspille pas de temps avec ta timidité. - If you feel weird about something during a relationship, that’s usually what you end up breaking up over.
Si tu te trouves bizarre à propos de quelque-chose dans une relation, cela signifie que cela finira par casser. - Have as much contact as possible with older people.
Créé le plus de contact possible avec des personnes âgées. - Find people that are cooler than you.
Trouve des gens + cool que toi. - You will become more conservative over time.
Tu seras de plus en plus conservateur avec le temps. - Reduce all expenses as much as possible.
Réduit toutes dépenses autant que possible. - Instead of getting status through objects, do it through experiences.
Au lieu de te maintenir en état par des objets, parviens-y par l'expérience. - While you are living on the cheap, solve the money problem.
Tant que tu vis avec peu d'argent, résous tes problèmes d'argent. - Learn to program.
Apprends à programmer. - Get a six-pack while you are young.
Muscle-toi des tablettes de chocolat tant que tu es jeune. - Learn to cook.
Apprends à cuisiner. - Sleep well.
Dors correctement. - Get a reminder app for everything.
Trouves-toi une application de mémorisation pour tout. - Choose something huge to do.
Décide de quelque-chose incroyable à entreprendre. - Get known for one thing.
Soi connu pour une chose. - Don’t try to “fix” anyone.
N'essaie pas de « réparer » quelqu'un.
Les voyageurs d'expérience vous dévoilent leurs secrets et conseils voyage pour faire leurs bagages/valises et voyager léger lorsqu'il sont en vacances!
Pleins de bons conseils en vrac. Dur de tout appliquer mais y'a de bonnes sources d'inspiration !
Pas mal cette article :
- Soyez un minimum préparé : noter date, heure, lieu, personne
- Soyez présentable : vêtements, attitude, langage, tics,
- Soyez vrai
- Soyez comme le PQ Doudou : « souple et solide à la fois »
- Présentez-vous : quelques phrases, 2-3 minutes, parcours scolaire+professionnel, vie personnelle, raison pour avoir postulé, retour.
- Parcours scolaire : assumez
- Parcours professionnel : préparer des arguments, pas de « mauvaise » expérience
- Trou dans le CV
- Raison pour avoir postulé : travailler une réponse différente de la lettre de motivation
- 3 qualités et défauts : éviter les faux défauts ou ceux qui grillent toutes les chances, raisonner en trait de caractère, chercher la bivalence
- Vous avez des questions : toujours préparer une question
Des petites conseils que je ne connaissais par pour faire une sortie moto !
Je repartage ce lien, qui pointe vers http://www.slate.com/articles/health_and_science/family/2013/06/rescuing_drowning_children_how_to_know_when_someone_is_in_trouble_in_the.html qui re-pointe vers http://mariovittone.com/2010/05/154/ dont la traduction en français re-re-pointe là http://mariovittone.com/la-noyade-en-francais/ . Et étant donné que c'est un texte (en anglais) dans le domaine public, je republie des extraits de la traduction :
Caractéristiques de la Réponse Instinctive à la Noyade
- Sauf dans de rares circonstances, les gens qui se noient sont physiologiquement incapables d’appeler au secours. Le système respiratoire a été conçu pour la respiration. La parole est la fonction secondaire, ou superposée. La respiration doit être accomplie avant que la parole puisse se produire.
- La bouche des gens en train de se noyer est alternativement en train de couler sous l’eau et de réapparaître au-dessus de la surface. La bouche des gens en train de se noyer n’est pas au-dessus de la surface de l’eau suffisamment longtemps pour qu’ils puissent expirer, inspirer, et appeler au secours. Quand leur bouche est au-dessus de la surface, ils expirent et inspirent rapidement alors que leur bouche recommence déjà à couler sous l’eau.
- Les gens en train de se noyer ne peuvent pas agiter les bras pour appeler à l’aide. La nature les force instinctivement à étendre leurs bras latéralement et à appuyer sur la surface de l’eau. Pousser sur la surface de l’eau permet aux gens qui se noient de faire un effet de levier sur leur corps afin qu’ils puissent relever leur bouche au-dessus de l’eau pour respirer.
- Pendant la Réponse Instinctive à la Noyade, les noyés ne peuvent pas contrôler par la volonté leurs mouvements de bras. Physiologiquement, les gens qui se noient et qui luttent à la surface de l’eau ne peuvent pas stopper la noyade ni effectuer des mouvements volontaires comme lever les bras pour appeler à l’aide, nager vers un secouriste ou s’accrocher à du matériel de sauvetage.
- Du début à la fin de la Réponse Instinctive à la Noyade, le corps des gens reste droit dans l’eau, sans aucun signe de battements de pieds pour se maintenir. À moins qu’ils ne soient secourus par un lifeguard entraîné, ces noyés ne peuvent que lutter à la surface de l’eau de 20 à 60 secondes avant que la submersion se produise.
Soyez attentifs à ces autres signes de noyade :
- Tête basse dans l’eau, bouche au niveau de la surface ;
- Tête renversée en arrière avec la bouche ouverte ;
- Yeux vitreux et vides, incapables de fixer ;
- Yeux fermés ;
- Cheveux sur le front ou les yeux ;
- Personne qui n’utilise pas ses jambes, à la verticale ;
- Hyperventile ou halète ;
- Essaye de nager dans une direction mais fait du sur-place ;
- Essaie de se retourner sur le dos ;
- A l’air de monter à une échelle invisible.
Donc si un membre d’équipage tombe par-dessus bord et que tout a l’air OK, n’en soyez pas si sûr. Parfois le signe le plus évident qu’une personne se noie est qu’elle n’a pas l’air de se noyer. Elle peut juste avoir l’air de faire du sur-place et de regarder vers le pont du bateau. Un bon moyen de s’en assurer ? Demandez : “Est-ce que tout va bien ?” Si la personne peut vous répondre, c’est qu’elle va probablement bien. Si elle vous renvoie un regard sans expression, vous avez moins de 30 secondes pour arriver jusqu’à elle. Et pour les parents : les enfants qui jouent dans l’eau font du bruit. Lorsqu’ils deviennent silencieux, il faut aller jusqu’à eux et comprendre ce qui se passe.
J'aime bien ce petit mémo pour faire le tri :
- supprimer les photos floues,
- supprimer les photos mal exposées,
- supprimer toutes les photos mal cadrées,
- supprimer les doublons
Tiens, depuis que je fais attention à la montée en tempérautre, ce sujet m'intéresse. Et je découvre la « règle de trois » :
« [pour les] becanes sans thermo [...] :
- 3 min au ralenti,
- 3 min à tiers de gaz,
- 3 km à demi régime,
- et gaaaaaaaaaaz »
"DRI", ça vous dit quelque chose ?
C'est une autre façon d'améliorer la dynamique d'une photo. Plutôt intéressant surtout que la base (3 photos, sur et sous-exposé et 1 exposition normale) reste la même comparé au HDR.
Site intéressant qui offre des conseils en escalade.
J'ai l'impression d'avoir déjà lu ça quelque part, mais c'est pas grave, je reprends (organisé à ma sauce) - via Vader http://liens.vader.fr/?GC2IAA :
- Tu n'attaqueras point la personnalité, mais les arguments.
--> Ad hominem https://fr.wikipedia.org/wiki/Ad_hominem - Tu ne travestiras ou n'exagèreras point les arguments d'un autre afin de les rendre plus faciles à abattre.
--> Homme de paille https://fr.wikipedia.org/wiki/Homme_de_paille_%28rh%C3%A9torique%29 - Tu n'étendras point à un tout le fruit d'un petit nombre d'exemple.
--> Généralisation précipitée, argument de composition - Tu ne défendras point ton argument en présupposant qu'un de ses prémices est vrai.
--> Pétition de principe https://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9tition_de_principe - Tu ne soutiendras point qu'un évènement est la cause d'un autre parce qu'il l'a directement précédé.
--> Post hoc https://fr.wikipedia.org/wiki/Post_hoc_ergo_propter_hoc - Tu ne réduiras point les arguments à deux possibilités.
--> Faux dilemme https://fr.wikipedia.org/wiki/Faux_dilemme - Tu ne tiendras point pour vraie (ou fausse) une affirmation sous prétexte qu'elle n'a pas été étudiée.
--> Ad ignorantiam https://fr.wikipedia.org/wiki/Appel_%C3%A0_l%27ignorance - Tu ne retourneras point la charge de la preuve sur celui qui remet en cause une affirmation.
--> Renversement de la charge de la preuve https://fr.wikipedia.org/wiki/Renverser_la_charge_de_la_preuve_%28philosophie%29 - Tu ne présupposeras point que A et B vont de paire lorsqu'il n'y a pas de connexion logique entre les deux.
--> Non sequitur https://fr.wikipedia.org/wiki/Non_sequitur - Tu n'affirmeras point qu'un argument, parce qu'il est populaire, est donc dans la vérité.
--> Ad populum https://fr.wikipedia.org/wiki/Argumentum_ad_populum
Oooooh, pleins de bons petits conseils (que je n'avais pas forcément repéré avant :-S ) sur quoi manger, particulièrement en parallèle de la pratique d'un sport.
Et ça reste dans la fibre de ce que j'ai pu synthétiser de mes diverses lectures à ce sujet.
En résumé :
- Pas de pain blanc (raffiné), mais des glucides complets ;
- Peu de sucre rapide ;
- Gras OU sucre/glucide, mais pas les deux ensemble ;
- Les protéines à foison (pas trop quand même) ;
- Du gras le matin et de moins en moins « lourd » au cours de la journée ;
- Privilégier le vin aux alcools forts et à la bière (mais pourquoooooi :'-( ?!!?! ) ;
- Se faire plaisir ! ! !
« Si vous avez des infos complémentaires à me donner, n'hésitez pas. »
Déjà, avant de te répondre, il faut que toi tu te poses une question : "que vais-je faire avec un raspberry ? " !
--> Mediacenter, domotique, serveur, pc pour enfant, boîtier embarqué radio/musique, ... ?
Au minima, tu as besoin d'une carte SD et d'un moyen de l'alimenter.
Ensuite tu peux rajouter +/- de bordel : clavier, écran, souris, câble ethernet, clef WiFi, hub USB, batterie, boîtier, boule à facettes... + tout ce qui peut se connecter sur les pin GPIO.
J'ai acheté le 512 modèle B sur kubii, aucun soucis à signaler. Pour la doc : https://lmddgtfy.net/?q=documentation%20raspberry%20pi