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Avec la traduction (via DeepL)
Au début de ma carrière, lorsque je travaillais comme ingénieur, mon patron avait mis en place un processus selon lequel l'équipe d'ingénieurs devait rendre compte de l'état d'avancement du projet. Il insistait pour que nous suivions les étapes suivantes, dans l'ordre indiqué :
- Phrase clef : Les faits ; pas d'adjectifs, d'adverbes ou de modificateurs. "Le jalon 4 n'a pas été atteint à temps et nous n'avons pas commencé la tâche 8 comme prévu". Ou encore : "La charte a été approuvée comme prévu".
- Situation actuelle : Comment l'énoncé de la chute affecte le projet. "En raison de l'étape manquée, le chemin critique a été retardé de cinq jours."
- Prochaines étapes : La solution, le cas échéant. "Je pourrai rattraper trois jours au cours des deux prochaines semaines, mais j'aurai toujours deux jours de retard."
- Explication : La raison de la chute. "Deux des cinq jours de retard sont dus à la découverte tardive d'un problème d'interface matérielle, et les trois jours restants sont dus au fait que j'ai été appelé à aider le personnel du service d'assistance à la clientèle pour un problème de production."
Remarquez l'ordre presque inverse de ces points par rapport au style de rapport habituel dans lequel les membres de l'équipe commencent par une longue explication des raisons pour lesquelles les choses se sont mal passées. En suivant les quatre étapes décrites ci-dessus, le chef de projet apprend d'abord les informations les plus importantes, puis les informations complémentaires qui l'aideront à compléter l'histoire.
Au début, il n'était pas facile de rendre compte de cette manière. Cela nous obligeait à aller à l'essentiel rapidement et à ne pas recourir à l'obscurantisme. Mais je n'ai pas seulement appris à pratiquer ce style de rapport de situation au bureau, je l'ai aussi enseigné à mes enfants.Cette méthode a été mise à l'épreuve quelques années plus tard. Il était minuit passé, bien après l'heure à laquelle mon fils Raj, alors âgé de 17 ans, aurait dû rentrer à la maison. Il conduisait pour la première fois et la nuit était orageuse. Sa mère et moi étions anxieux et soucieux de son bien-être. Finalement, le téléphone a sonné. C'était Raj, et il a dit : "Papa, je vais bien ; le taureau est mort".
Dieu merci, mon fils allait bien, mais le commentaire sur le taureau mort m'a intrigué. Nous ne possédions pas de taureau. Où était-il ? Comment le taureau était-il mort ? Et pourquoi m'en parlait-il ?
Puis il a dit : "La voiture est endommagée mais utilisable."
D'accord. Il avait eu un accident, la voiture n'était pas une perte totale et il y avait un taureau mort (ce qui reste une grande énigme). Je me suis demandé si notre assurance automobile couvrait les taureaux morts.
Il m'a ensuite expliqué le lieu de l'accident et m'a informé qu'une personne à proximité avait appelé la police et qu'il (Raj) avait pris quelques photos de la scène de l'accident.
À ce moment-là, ma femme s'est réveillée et m'a demandé : "C'est Raj, et il va bien ?". Je lui ai répondu : "Il va bien, le taureau est mort". Cela a attiré son attention et elle était maintenant bien réveillée.
Bien qu'un peu fâchée que Raj soit rentré si tard et qu'il ait eu un accident, j'ai été impressionnée par son comportement calme et sa capacité à garder son sang-froid. Raj a poursuivi en disant : "Tu n'as pas besoin de te presser. Je vous expliquerai quand je vous verrai." J'ai raccroché le téléphone et j'ai commencé à me préparer à me rendre sur les lieux de l'accident.
A ce moment-là, ma femme, toujours intriguée par les informations qu'elle avait reçues, m'a demandé des détails. Je lui ai répété : "Il va bien, le taureau est mort et il m'expliquera les détails à mon arrivée". Un peu agacée, elle m'a dit : "C'est l'une de vos histoires à chute, n'est-ce pas ?".J'ai été très impressionné par la façon succincte dont Raj m'a donné la bonne information dans le bon détail, sans entrer dans des explications inutiles. En journalisme, c'est ce qu'on appelle la pyramide inversée, qui commence par la conclusion, suivie des faits les plus importants et, enfin, des détails. Ce style contraste avec la rédaction académique, qui commence par l'énoncé du problème, développe le contexte, discute des facteurs d'influence et enfin énonce les conclusions. Lorsque l'approche académique est utilisée pour présenter des rapports sur l'état d'avancement d'un projet, les personnes qui attendent encore la chute prient silencieusement : "S'il vous plaît, mon Dieu, tuez-moi maintenant". C'est précisément la raison pour laquelle je commence par la chute.
Pour de nombreux membres de l'équipe de projet, commencer par la chute peut être déconcertant, mais nous avons constaté qu'une fois qu'ils s'y sont habitués, ils apprécient vraiment la clarté du message et le temps gagné pour faire passer le message.
Essayez-le, vous l'apprécierez.
Firefox a reçu une requête judiciaire pour enlever l'extension qui permet de supprimer les paywalls sur les sites internet. Le développeur n'a pas répondu (de ce que j'ai compris de l'article) ; mais ça n'empêche pas d'utiliser la fonctionnalité.
Pour cela il suffit de passer par l'autre extension uBlock Origin. Je n'ai pas encore testé mais ça donne ça :
- Dans l'onglet "Liste de filtres",.
- Cliquer sur le bouton "Importer", en bas de page.
- Ajouter l'URL
https://gitlab.com/magnolia1234/bypass-paywalls-clean-filters/-/raw/main/bpc-paywall-filter.txt
- Appliquer, puis activer le filtre "Bypass Paywalls Clean".
Je vais tenter de traduire en français ce Minifesto :
Texte original
- Fight for Pareto's law, look for the 20% of effort that will give you the 80% of results.
- Prioritize, minimalism isn't about not doing things but about focusing first in the important.
- Perfect is enemy of good, first do it, then do it right, then do it better.
- Kill the baby, don't be afraid of starting all over again. Fail soon, learn fast.
- Add value. Think constantly how you can help your team and position yourself in that field/skill.
- Basics, first. Follow always a top-down thinking starting by the best-practises of CS.
- Think different. Simple is harder than complex, which means you'll need to use your creativity.
- Synthesis is the key of communication. We have to write code for humans not machines.
- Keep it plain. Try to keep your designs with few layers of indirection.
- Clean kipple and redundancy. Minimalism is all about removing distractions.
Traduction personnelle
- Se battre pour la loi de Pareto ; chercher les 20% d'effort qui apporteront 80% de résultats.
- Prioriser ; le minimalisme ce n'est pas ne pas faire les choses, mais c'est se concentrer d'abord sur les choses importantes.
- La perfection est l’ennemi du bien ; d'abord le faire, puis le faire bien, enfin le faire mieux.
- Tuer le bébé ; ne pas être effrayé par tout recommencer. Échouer tôt, apprendre vite.
- Ajouter de la valeur ; penser constamment comment aider son équipe et se positionner dans ce cadre.
- Les bases, d'abord ; toujours suivre une approche descendante en commençant par les bonnes-pratiques en informatique.
- Penser différemment ; simple est plus dur que complexe, ce qui signifie que l'on a besoin de sa créativité.
- Synthétiser est la clef de la communication ; on doit coder pour des humains, pas des machines.
- Rester simple ; essayer de garder sa conception avec peu de niveaux de redirection.
- Nettoyer le bazar et la redondance ; le minimalisme c'est juste supprimer les distractions.
Traduction DeepL
- Luttez pour la loi de Pareto, recherchez les 20% d'efforts qui vous donneront les 80% de résultats.
- Fixez des priorités, le minimalisme ne consiste pas à ne pas faire certaines choses mais à se concentrer d'abord sur ce qui est important.
- Le parfait est l'ennemi du bien, faites-le d'abord, puis faites-le bien, puis faites-le mieux.
- Tuez le bébé, n'ayez pas peur de tout recommencer. Échoue vite, apprends vite.
- Apportez de la valeur ajoutée. Pensez constamment à la manière dont vous pouvez aider votre équipe et positionnez-vous dans ce domaine/cette compétence.
- Les bases, d'abord. Suivez toujours un raisonnement de haut en bas en commençant par les meilleures pratiques de CS.
- Pensez différemment. Le simple est plus difficile que le complexe, ce qui signifie que vous devrez faire appel à votre créativité.
- La synthèse est la clé de la communication. Nous devons écrire du code pour les humains et non pour les machines.
- Restez simple. Essayez de garder vos conceptions avec peu de couches d'indirection.
- Éliminez les distractions et les redondances. Le minimalisme consiste à éliminer les distractions.
Ça c'est bien vrai ! Au perso j'utilise un Ubuntu ou équivalent depuis… 13 ans ? au perso cela fait peut-être 1 an, dans un contexte où personne ne se pose la question dans un cadre de « bureautique ». J'ai toujours un Dual Boot pour utiliser Word dans certains contexte ; mais pour le reste Windows ne me sert plus !
Reprise, traduction et commentaire de l'article
- Première impression : en effet, l'interface n'est pas homogène du tout et conserve des reliquats d'il y a 20 ans…
- On ne peut rien personnaliser : sur Ubuntu il est possible par exemple d'utiliser une police pour dyslexique sur l'ensemble des fenêtres…
- Les logiciels ne sont pas inter-connectables
- Les chemins stupidement long et incohérent : y'a encore besoin d'avoir un
C:/
?! Certes l'arborescence linuxienne n'est pas triviale, mais a du sens. - Variables d'environnements : /
- L'installation de logiciels : quelle plaie ! Même avec Ninite ou Chocolatey ce n'est pas aussi simple que du côte pingouin.
- Le terminal : /
- La récupération des paramètres au redémarrage : c'est pratique qu'Ubuntu (ou Mate) mémorise la position des fenêtres, dans les différents bureaux virtuels, parmi les écrans.
- Les bureaux virtuels : une fois que l'on y a goûté, c'est difficile de faire machine arrière.
- Les fenêtres sont toutes déplacées vers le moniteur principal après la mise en veille/arrêt : ah bah c'est ce que je disais avant …
- Pas de coller par clic-molette ; SSH : /
- Raccourcis clavier : clairement un point pour Buntu-world !
J'ajoute deux points que j'apprécie dans l'interface ubuntienne : pouvoir déplacer et redimensionner les fenêtres avec un [Alt]
+(clic souris — droit ou gauche)
; que la fenêtre sous le curseur de la souris prenne automatiquement le focus.
Shit!
Et maintenant y'a des reprises en toki pona ! J'ai regardé et le sens est assez correct.
ten-po pini-wan-la, tomo-li-lon telo.
nimi-ona li Po-ki Seli-Telo.
tomo-li tawa.
kon li wawa.
jan-pali o pali.
tenpo pi jan-esun la,
ona-li esun e moku mi.
tenpo pali-li pini
la mi tawa weka.
tenpo lili tawa la kala suli li-lon poka ona.
jan lawa tomo li toki:
“mi wile e ona.”
tomo-lili li kama anpa la, monsi-kala-li pa-ka-la e ni.
jan li alasa e kala
kepeken ilo linja
linja-ilo li pakala-ala la, kala-suli li-tawa e tomo.
jan lawa li ike-ala,
taso-ona li nasin alasa.
tenpo suno mute la, linja-ilo li awen, li lawa.
tomo-lili ale li weka ale.
kala-suli li awen tawa
toki la, linja en kala en alasa li awen.
jan esun li awen-toki
tawa jan-tomo, tawa alasa!
Quand tu trouves une citation intéressante dans la RFC du markdown :
“Sometimes the truth of a thing is not so much in the think of it, but in the feel of it.” — Stanley Kubrick
traduction :
« La vérité d'une chose est dans sa sensation, pas dans sa pensée. » — Stanley Kubrick
Je cite :
Despite its name, FSD (Full Self-Driving) is not an autonomous driving system. Drivers are required to stay vigilant, keeping their eyes on the road and their hands on the steering wheel.
Traduction :
En dépit de son nom, le FSD (Full Self-Driving) n'est pas un système de conduite autonome. Les conducteurs doivent rester vigilants, en gardant leurs yeux sur la route et leurs mains sur le volant.
Donc on n'a toujours pas de véhicule automatisé de niveau >1 ; rappel.
“ Looks like we made a poor decision.
— No. We made a good decision. The outcome was poor.
There were many unknowns and we decided based on what we knew.
Never judge a decision by its outcome.”
« On dirait que l'on a pris une mauvaise décision.
— Non. On a pris une bonne décision. Le résultat était mauvais.
Il y avait beaucoup d'inconnues et on a décidé en se basant sur ce que l'on savait.
Ne juge jamais une décision par son résultat. »
via https://workchronicles.com/if-youre-done-leave/
via https://sebsauvage.net/links/?KJDb4w
Elle est tellement parlante cette image.
- Le titre est "Burnout".
- Dans la première case, on voit un gars devant un ravin dans lequel il y a une "soupe" d'anomalies (représentées par des insectes/bugs) et des spaghetti. Une pancarte "Monday" le pousse à avancer vers cela. Son visage n'est pas du tout enjoué.
- Dans la seconde case, on voit à nouveau le gars se sortir péniblement du ravin, il a un pied/tentacule qui le retient à son pied. Un panneau sur la berge indique "Friday". Il a le visage amoché.
- Dans la troisième case, on le voit dans son lit, des gens sont autour et il dit "I can't do this anymore".
- Dans la quatrième et ultime case, on le voit à nouveau devant la pancarte "Monday". Là deux "anges" prennent place : le premier "Shame" lui intime sévèrement du doigt de se plonger à nouveau dans le ravin/soupe de bugs ; le second "Fear" le retient pour ne pas qu'il franchisse le pas.
Traduction :
- Monday = lundi
- Friday = vendredi
- I can't do this anymore = je ne peux plus faire ça
- Shame = honte
- Fear = peur
Je viens de le tester avec la traduction de la déclaration universelle des droits de l'homme. Et je dois reconnaître que ça s'en est très bien sorti. Il n'y a pas de perte de sens ; voire c'est parfois + clair. D'ailleurs on voit qu'il y a des incohérences
En anglais (avant-dernier paragraphe du préambule) :
“Whereas a common understanding of these rights and freedoms is […]”
est traduit en français
« Considérant qu'une conception commune de ces droits et libertés est […] »
Alors que DeepL le traduit par
« Considérant qu'une compréhension commune de ces droits et libertés est […] »
Ce qui me semble être + correct.
Je me suis arrêté aux 5 premiers articles ; je valide l'alternative.
Euh, je viens de faire l'exercice avec l'alternative Gg Trad… et bah ça fait pas rêver !
Exemple avec l'article 3 (le plus court des + explicites, car c'est partout comme ça) :
- Original-anglais
- “Everyone has the right to life, liberty and security of person.”
- Original-français
- « Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne. »
- Traduction-original-DeepL
- « Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne. »
- Traduction-original-GgL
- « Chacun a droit à la vie, à la liberté et à la sécurité de sa personne. »
Puisque cette solution m'a permis d'en terminer avec mon problème, je vais tenter une traduction ; surtout que cela concerne le « Secure Boot » et l'UEFI.
Problème : après l'installation de Ubuntu sur un PC, au redémarrage j'ai un écran qui dit No Bootable Device
.
Ceci alors que Ubuntu fonctionnait bien en mode Live et que je n'ai pas eu de problèmes à l'installation.
Ordinateur Acer avec
- Windows initialement ;
- gestion du démarrage UEFI ;
- Installation de Ubuntu en écrasant tout ;
- Éteindre le PC. Redémarrer et aller dans les paramètres de boot en appuyant sur [F2] (ou [Fn]+[F2]) rapidement.
- [NDT : ] Dans l'onglet
Security
, vérifier que leSupervisor Password
est configuré. - Vérifier que le
Secure Boot
est activé dans l'ongletBoot
. - Dans l'onglet
Security
, aller dans le menuSelect an UEFI file as trusted for executing
.
Cela va permettre d'ajouter le fichier de paramètres UEFI généré durant l'installation de Ubuntu parmi les paramètres « de confiance ». - On doit voir le disque dur tel que
HDD0
. Appuyer sur [Enter]. - On doit voir
EFI
. Appuyer sur [Enter]. - On doit voir
ubuntu
. Appuyer sur [Enter]. - On doit voir
shimx64.efi
parmi d'autres fichiers (tels quegrubx64.efi
). Appuyer sur [Enter]. - Taper un nom pour la description du boot puis valider.
- Appuyer sur [F10] pour sauvegarder et quitter.
- Au redémarrage il ne devrait plus y avoir l'écran
No Bootable Device
. On aura peut-être l'écran de Grub ou autre mais il n'apparaîtra que 1 fois.
“A man doesn't go to drink coffee after climbing, coffee is integral part of the climbing.”
— Wolfgang Güllich
« Un homme ne va pas boire un café après l'escalade, le café fait partie intégrante de l'escalade. »
— Wolfgang Güllich
(on peut aisément remplacer "café" par "bière" !!!)
« Tuer un homme » est la traduction en français d'une recherche que j'ai effectuée aujourd'hui dans un moteur de recherche. Et pourtant… tout va bien :-)
All of these terms relate to testing, but at different stages in a chip design and manufacturing flow:
Verification is a process in which a design is tested (or verified) against a given specification before manufacturing. This can be done using several methods like software simulations, static formal analysis and FPGA/hardware emulation.
Validation is a process in which the manufactured design is tested for all functional and electrical correctness in a lab set up. This includes having the real chip assembled on a test board or a reference board, running real software/applications and making sure that all features work well.
Testing (or Manufacture testing) mostly involves running certain reliable test patterns on each chip before volume shipment. Once a product is validated and is ready for shipment in large volumes, test patterns are run to identify any defective products during fabrication as well as for “binning” parts for different skews.
Tous ces termes sont liés au test, mais à différents niveaux dans le flot de fabrication :
Vérification : processus par lequel un composant est testé (ou vérifié) par rapport à une spécification donnée avant une mise en production. Cela peut être effectué en utilisant différentes méthodes tels que la simulation logiciel, l'analyse formelle statique ou l'émulation.
Validation : processus par lequel un composant produit est testé pour la justesse électrique et fonctionnel dans une environnement dédié. Cela inclue avoir un composant assemblé sur un banc de test ou un banc de référence, lancer des logiciels/applications et s'assurer que toutes les fonctionnalités fonctionnent correctement.
Test concerne principalement le lancement de certains scénarios de test sur chaque composant avant de lancer un certain volume de production. Une fois qu'un produit est validé et prêt pour la lancement en large volumes, des scénarios de tests sont lancés pour identifier tout produit défectueux durant la fabrication ou aussi bien écarter tout élément non-conforme.
Wouhou, astuce du jour. Avec ce logiciel monumentalement indispensable pour le multimédia !
Avec mon PC j'ai des touches multimédia. Morceau précédent / suivant / Play/Pause . Cela fonctionne bien quand VLC est en focus à l'écran. Seulement en arrière plan, cela ne fonctionne plus… Pourtant ces touches fonctionne car avec le lecteur Clementine (qui vaut le coup également !!!), je m'en sers.
En lisant un peu ces astuces que je shaarlinke, je me creuse un peu les méninges.
Et ma solution est la suivante :
- Ouvrir VLC.
- Ouvrir les préférences
Ctrl+P
ouOutils>Préférences
. - Aller dans l'onglet
Raccourcis
. - À la ligne
Lecture/Pause
, on a probablement déjàEspace
dans la colonneRaccourci clavier
. - Double-cliquer dans la colonne
Global
(elle est là l'astuce car je ne la voyais pas car elle est intégralement vide). - Jouer la combinaison de touche qui va bien, pour moi c'est la touche
f10
sans cliquer sur la touche fonctionfn
. - Éventuellement fermer et relancer VLC, le placer en arrière-plan et vérifier que cela fonctionne.
- De rien :-)
Btw, en cherchant cette solution, je suis tombé sur le logiciel SharpKeys qui permet de remapper une touche par une autre (voire aucune).
Cf l'exemple clef de l'auteur du logiciel
How many times a day do you accidentally hit cAPS lOCK BY MISTAKE AND END UP HAVING TO GO BAck and retype stuff? […] I told my computer to treat Caps Lock as if it was a shift key.
Que l'on lira :
Combien de fois par jour appuyez vous accidentellement sur LA TOUCHE CAPS LOCK PAR ERREUR ET PUIS DEVEZ REVEnir en arrière et tout retaper ? J'ai dit à mon ordinateur de gérer la touche
Caps Lock
(Verrouillage majuscule) comme la toucheShift
.
Pour ma part, j'ai appliqué cela aux touches f1
et Aide
(touche f1
sans cliquer sur fn
), car je cliques dessus par mégarde parfois à la place de esc
NB : ceci s'applique à Win10
Génial ce truc, ça me fait penser à Million Dollar Homepage
"Combien de personnes payent 1$ pour voir combien de personnes ont dépensé 1$ ?"
Je kiffe cette application (tout juste fraîchement installée, donc à voir avec le recul…)
These are the current features:
Configurable periods Sound control Pomodoro™ counter :) Pomodoro counter history similar to github contributions Shows period progress on taskbar Control app using taskbar jumplist Select opacity for timer Select light or dark theme for timer Counting time backwards
Voici les fonctionnalités actuelles :
Périodes configurable Contrôle du son Compteur de Pomodoro™ :) Historique du compteur de Pomodoro similaire aux contributions Github Affiche la progression du temps dans la barre des tâches Contrôle de l'application en utilisant l'accès rapide de la barre des tâches Sélection de l'opacité de l'horloge Sélection d'un thème clair ou sombre pour l'horloge Compte-à-rebours du temps restant
Comme, je lis un peu de trucs à propos de todo.txt, je retombe sur ces histoires d'organisations des tâches.
Et je me suis rappelé d'un super tag chez mon ami : lifehacking. Je me mets à fouiller et je tombe sur cette image (en anglais) sur “50 Productivity Tips to Boost Your Brainpower” (quel titre putacliquesque !).
Y'a du bon et du moins bon ; y'a des trucs que je fais et d'autres que je n'ai pas l'intention de mettre en place. Mais dans les trucs qui me plaît il y a le conseil 37. : « "Est-ce que cela me rapproche d'un objectif ? Est-ce important pour mon chef ? Est-ce que cela permet de gagner de l'argent ? Est-ce que cela doit être effectué aujourd'hui ?" Priorisez vos tâches avec le nombre de "Oui". »
Évidemment, c'est à adapter mais j'aime bien cette idée de se fixer des critères simples avec 4 questions pour déterminer la priorité d'une tâche.
Excellent, je n'avais pas vu qu'il avait tant traduit que ça !
Et puis surtout il me fait plaisir de voir que la source en anglais est dans le domaine public : https://zenhabits.s3.amazonaws.com/The%20One%20Skill%20-%20Leo%20Babauta.pdf et https://zenhabits.s3.amazonaws.com/The%20One%20Skill%20ebook%20(epub).epub
Wouhou, ça y est ! J'ai mis à jour mon shaarli !!! et le markdown
fonctionne!
Et évidemment j'ai traduit tout ça en français.
Vous pouvez trouver le package de traduit ici : https://orangina-rouge.org/tools/shaarli-FR/shaarli-FR-v063.7z
J'ai comme l'impression que ce n'est pas la première fois que je fais ça… Ah bah oui, j'ai commencé en novembre 2012 (merde, déjà!!). Beaucoup de changement dans la structure suite au développement depuis plusieurs mois et surtout l'application s'est sacrément alourdie (548K vs 319K)…
Faites-en ce que vous voulez ! Je n'ai pas le courage d'aller pousser ça chez papy-GitHub.
Ce n'est pas exempt d'oubli : je n'ai pas traduit les plugins, je n'ai fait que lire le code pour repérer les passages à traduire (pas de recherche de balise title
ou autre), bref et l'orthographe j'suis pas un poète non plus.