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Très intéressant.
Et je cite le via http://www.palkeo.com/shaarli/index.php?aDd6Ow
"Moi je crois que l’on ne réussit qu’une seule chose, on réussit ses rêves. On a un rêve et on essaye de bâtir, de structurer ce rêve. (…)
Je crois qu’en fait, un homme passe sa vie à compenser son enfance. Je m’explique. Je crois qu’un homme se termine vers 16-17 ans. Vers 16-17 ans, un homme a eu tous ses rêves. Il ne les connait pas. Mais ils sont passés, ils sont passés en lui. Il sait s’il a envie de brillance, ou de sécurité, ou d’aventure… Il sait. Il ne le sait pas bien, mais il a ressenti le goût des choses, comme le goût du chocolat, comme le goût de la soupe aux choux. Il a le goût de cela.
Et il passe sa vie à vouloir réaliser ses rêves-là. Et je crois qu’à 17 ans, un homme est mort, ou il peut mourir. Et après, je sais que moi j’essaie de réaliser les étonnements, plutôt que les rêves. J’essaie de réaliser les étonnements que j’ai eus jusqu’à, mettons, 20 ans. Et à 40 ans, on s’en aperçoit. A 40 ans, on le sait. Jusqu’à 40 ans, je ne le savais pas. Maintenant, je sais que c’est comme cela. Et peut-être qu’à 60 ans, je vais découvrir autre chose.
(…)
Et l’homme est un nomade. Et toute sa vie, un homme normal, je crois, rêve de foutre le camp, d’espèces d’aventures, quel qu’il soit, même si le gars est fonctionnaire depuis 40 ans, quand on le voit un soir et qu’il essaie de se libérer un peu, il vous dit : « J’aurais voulu être pilote, j’aurais voulu être machin… » Tous les hommes ont envie de vivre quelque chose. Et les hommes ne sont malheureux que dans la mesure où ils n’assument les rêves qu’ils ont. (…)"
Jacques Brel
Édit 2015-12-16 : site original : https://esquisses.clochix.net/2013/09/28/qotd-Brel/ et cf http://orangina-rouge.org/shaarli/?GLdzOQ
Allez, pour ouvrir la nuit :
« Si tu n'arrives pas à penser, marche.
Si tu penses trop, marche.
Si tu penses mal, marche encore. »
Jean Giono
La réflexion du jour :
« Je préfère une liberté dangereuse à une servitude paisible. »
Parce que cette recette est juste géniale :
«
Prévoir du sel, du poivre, de l'huile d'olive, des bardes de lard, un tube de mayonnaise et bien sûr une bouteille de whisky (d'où le nom !).
Barder le poulet, le saler, le poivrer et ajouter un filet d'huile d'olive.
Préchauffer le four à température moyenne (220°C ou thermostat 7) pendant 10 minutes.
Se verser un verre de whisky et le boire.
Mettre le poulet au four dans un plat de cuisson approprié
Se verser un verre de whisky et le boire.
Renouveler cette dernière opération.
Après un quart beurre, fourrer l'ouvrir pour surbeiller la buisson du coulet.
Brendre la vouteille de biscuit et s'envoyner une bonne rasade.
Après un tard .... un far t'heure... abrès un moment quoi, dituber jusqu'au bour.
Oufrir la borte, reburner, revourner... mettre le noulet dans l'aurte sens.
S'asseoir sur une butain de chaise et se reverdir 2 ou 3 verts de ouisti.
Buire, tuire, cuire le loulet bandant une deni-heure.
Se rebercer une bonne voulée de poulet... non de visky.
Rabasser le loulet (tombé bar terre), l'ettuyer et le voutre sur un blat.
Se béter la gjeule cause du gras sur le barrelage de la buisine.
Ne pas essayer de se reveler.
Déciver qu'on est bien par derre et binir la mouteille de misky.
Ramber jusqu'au lit, dorbir ze qui reste de la muit.
Le lendemain matin, boire du Sprite, manger le poulet froid avec de la mayonnaise en tube et nettoyer le bordel que vous avez mis dans la cuisine. »
(Mis en paragraphe et corrigé - avec l'aimable autorisation de http://www.mypersonnaldata.eu/contact.html - texte sous licence CC-BY )
(NB : un blog où je ne trouve pas - directement - le nom de l'auteur ; dois-je dire de « mypersonnaldata », « kevin merigot », « le cancre » ? )
les intéressés se reconnaitront !
Allez, parce que l'on peut se marrer sur shaarli aussi.
« on me dit que mozart est mort, mais quand j’ouvre mon frigo mozarella. ».
de Gaston Rébuffat.
via https://www.facebook.com/pages/Patrick-Edlinger/280007925372464
Selon l'essayiste Hem Day.
via https://fr.wikipedia.org/wiki/Anarchisme#Principes_g.C3.A9n.C3.A9raux
Oui, je sais, on aurait dû dire « Les étoiles sont dans les espaces. »
Mais on discutait sur l'usage de la fonction en ligne de commande (CLI) "rename". En écrivant un batch, l'oubliant des « "" » peut poser problème sur les noms de fichiers ayant des espaces ; et cela même en utilisant des « * » lors d'inclusions multiples. Alors qu'en CLI « les espaces sont dans les étoiles » :-D .
entendu hier d'une discussion autour des grandes entreprises.
via quelqu'un autour de bentod.
Très intéressant.
J'aimerais tout citer mais je ne vais prendre que la fin :
« Au final je suis heureuse d’être mère, même si là encore, la parentalité ne correspond pas forcément au tableau qu’on nous peint bien souvent. Je ne regrette rien. J’aime mon fils. Mais sincèrement, si on avait pu me le livrer dans un joli ballotin, pendu au bec d’une cigogne, je n’aurais pas dit non. »
(via http://shaarli.fr)
“Yes, my point of view may have changed about people of different nationalities. IMO, i think frontiers and languages are just virtual barriers which should not exist because Human people are just all the same... Yes we're borned in different countries, we doesn't have the same oral language. And so what! All of this doesn't change the fact that in our mind can be "in phase". Don't you think?”
comme mieux représenter un instantanée de la société actuelle ?
via Les Fourmis de B. Werber - ISBN 2253063339
Lu dans "Lettres ou pas Lettres" du Canard enchaîné du 2013-06-12.
C'est dommage ce genre d'affrontement.
Personne n'a le droit de refuser un contrôle d'identité. En revanche, ce que l'on peut refuser, c'est de le faire dans la rue.
Pareillement, pas obligé de présenter forcément un CI ou un titre de séjour. Il faut juste prouver son identité. Et ça en reste là.
Quant au Niqab, il y a maintenant une loi à ce propos (2011-10-11) qui interdit de dissimuler son visage. Cela vaut aussi dans les manifestations. C'est malheureux, mais c'est la loi.
« Tapez sur la loi, pas sur ceux qui l'applique. »
« Par moment, j’ai l’impression qu’ils sont plus atteints que moi. Au fond, c’est logique, moi je ne serai pas là pour souffrir de mon absence. »
Pour aller dans le sens d'une certaine "doctrine" encouragée par quelqu'un d'influent.
Edit : pour ceux qui viennent du site de http://sebsauvage.net/links/?PzSBvA (je crains encore une fois son « effet »), sachez que cette idée a émergée sur le salon shaarli accessible a shaarli@conference.dukgo.com avec un simple compte xmpp (cf http://bajazet.fr/shaarli/?emQufw)
ahah, en plus ca rime.
petite réflexion du midi avec un sandwich dans la main.