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- 1763 : invention de la machine à vapeur, fonctionnant au charbon (moteur à combustion externe)
- 1876 : invention du moteur à quatre temps, fonctionnant au pétrole (combustion interne avec allumage commandé)
- 1950 : abandon de l'utilisation massive du charbon
- 2060 : fin du pétrole ?
- 2030 : début de l'utilisation massive de l'électrique ?
Quel trace numérique laisse-t-on ? Peut-on laisser une tâche numérique, suffisamment sombre pour qu'elle masque toutes les autres traces ?
Merde, décidément ce podcast est bon : je n'ai pas fini d'écouter les 5 premières que j'ai cela en tête :
- Les IA ne menacent que les fonctions (au sens métier) proches du langage ; c'est dit en préambule
- ChatGPT n'est qu'une forme de "cadavre exquis" sur une énorme base de langage ; c'est la réflexion que je me suis faite
En lisant l'article sur le lo-fi, je tombe sur l'encart du rock alternatif et y'a aussi le terme no wave qui m'intrigue.
Afficher une étiquette pour dire que l'on ne veut s'en coller aucune, c'est amusant. Et puis je me dis que l'origine de beaucoup de mouvements musicaux est parfois en réaction à un autre.
Et puis…
… dans ma tête :
« création… réaction… c⋅réation… réa⋅c⋅tion… c⋅réa⋅c⋅tion… »
==> Peut-on dire que de la réaction naît la création ?
Est-ce que porter un masque dans un magasin sans avoir de symptôme n'est pas aussi idiot que confiner tout le monde chez soi alors qu'une quarantaine ciblée est une mesure dont la mise en place est recommandée en amont ?
- L’ère de la force
- L’ère de la transmission : parole, musique, écriture, religion, …
- L’ère de la diffusion : « La société humaine passe d’une communication de “un à un” vers “un à plusieurs”. » : imprimerie, finance, médias…
- L’ère de l’interconnexion : « Après la communication écrite “un à un”, la communication imprimée “un à plusieurs”, Internet permet pour la première fois la communication “plusieurs à plusieurs”. » : Internet
- La Transition
"Le spectacle est étrange au bord du parapet : une forêt de bras brandissant des écrans. Pas un seul visiteur du matin ne regare la ville autrement qu'à travers son appareil. La vie est un Photomaton. La mémoire des hommes serait-elle devenue à ce point défaillante qu'il faille archiver chaque instant ? Ainsi des voyages modernes : on traverse le monde pour prendre une photo. Il n'y aura plus de récits de voyage, seulement des cartes postales. Ici, pas un oeil ne reçoit le spectacle en direct. Que feront les hommes de toutes ces images qui leur volent la possibilité d'une émotion organique ? Peut-on méditer en tripotant les touches de ces trucs ? Qu'a fait de mal le monde pour qu'on tire des écrans sur lui ? Seuls les enfants, les vieillards et les oiseaux regardent la vue de leurs pleins yeux. Ce sont les derniers êtres à qui il restera des souvenirs."
En lisant cet article (tombé dessus depuis http://www.topito.com/top-inventions-faites-droit-chemin ), je me demande si ce n'est pas d'une certaine manière le modèle de nos sociétés "numeriques" à coup de GAFAM et autre mastodonte centralisateur des informations personnelles ou de gouvernement "sécuritaire" avide des libertés individuelles pour un semblant de sécurité...
Des moyens pour apprendre le lâcher prise: lâcher prise implique parfois de nous changer nous-même ou de nous accepter avec nos limites.
« Il existe sur l’amour deux discours dominants : le premier, idéaliste, fait apparaître l’amour comme le supplément d’âme d’un monde désenchanté. […] Le second discours, matérialiste, ne voit dans les relations amoureuses que des stratégies de captation de services (sexuels) et de biens (matériels et symboliques) »
- « Amour : est-ce une question de "grands sentiments" ?
Entre ces deux discours – l’utopiste et le néo-darwiniste – il ne semblait guère y avoir de place pour beaucoup de réflexion. […]- L’amour ne se dit pas, il se "pratique"
- Les premières manifestations de l’amour : travaux d’approche
- Secret avoué n’est jamais innocent
le don de soi est toujours une façon de prendre le pouvoir sur l’autre. "Lorsqu’on s’expose personnellement en livrant des territoires de soi, on espère être payé de retour. L’abandon amoureux n’est pas exempt de stratégie", dit-il, en soulignant la part de risque énorme prise par la personne qui prend l’initiative.- Étape numéro 2 : le don de son temps
- Marquer les frontières à ne pas dépasser, tout en donnant des gages
Pour que l’amour dure, il importe notamment de marquer ses limites. L’équilibre est difficile à tenir. La remise de soi n’est pas toujours égale entre les partenaires.- Étape numéro 3 : faire son anamnèse
- Étape numéro 4 : échanges (d’objets, de goût, d’odeurs, de sons, de mots, de peau…)
- Un désir non pas de justice mais de justesse
- L’amour dure trois ans ?
Il ne faut pas confondre le sentiment de peur et le sentiment d’amour. Au début, c’est la peur et l’inquiétude qui dominent, avec leur part de plaisir inhérente »
Intéressant : des pistes de réflexions sur notre représentation de l'affection, de l'amour, la tendresse, la sincérité, la sexualité, l'amitié, ...
Ouais ! ce billet est vraiment à lire !
Au passage, cela m'a fait m'interroger, un nouvelle fois sur la traduction en français du principe du FUD que tout le monde connaît : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fear,_uncertainty_and_doubt (vous ne connaissez pas ? inquiétez vous ! (et renseignez vous ;-) ) ). Cela veut dire "Fear, uncertainty and doubt". C'est traduit en français par « peur, incertitude et doute ». Est-ce vraiment la bonne traduction ?
Pour Fear, pas de doute ( ;-) ) : http://www.wordreference.com/enfr/fear --> peur, crainte, le sens est là.
Bon, quid de Uncertainty ? : http://www.wordreference.com/enfr/uncertainty --> on parle bien d'incertitude voire même de doute. De quoi me faire craindre ( ;-) bis ) la traduction du prochain mot.
Et donc Doubt, là on est toujours bon dans la traduction : http://www.wordreference.com/enfr/doubt --> on traduit cela par doute (voire incertitude.........).
Oui. Bon. Si il y a deux mots pour doute et incertitude, il y a bien une raison.
Allons voir leur sens : http://www.cnrtl.fr/lexicographie/doute et http://www.cnrtl.fr/lexicographie/incertitude .
Pour le doute, on a l'idée de « ne pas savoir choisir entre l'un ou l'autre », d'une certaine bivalence. On est face à plusieurs choix déterminé mais on ne sait pas lequel sélectionner.
Pour l'incertitude, on a - je dirais - une « direction donnée » mais sa précision n'est pas certaine. On n'a qu'un seul choix mais il est flou, imprécis.
Je vais plus ou moins inventer une application pour illustrer cela :
« Regardez, la lessive de notre concurrent, elle laisse des traces ; la nôtre rend votre linge plus blanc que blanc ! » (Coluche, si tu lis ça : dédicace ! )
et
« Venez chez nous, c'est bien ; regardez, nos employés sont content et ont le sourire ! »
Vous avez reconnu le doute en premier et l'incertitude en second.
Qu'en pensez-vous ?