Mensuel Shaarli
April, 2022
Tentative numéro deux
Bon, j'ai oublié les mots de passe (admin et utilisateurs) depuis la première installation #ModeBoulet. Alors je repars depuis zéro.
- Téléchargement du dernier iso de Trisquel (en torrent parce que c'est quand même beaucoup plus pratique) ; ça tombe bien, la version
10
est arrivée depuis mon premier essai #FingersCrossed - Récupération de Etcher
- 17:30 : Nettoyage puis flashage de la clef, cela a pris
- 17:32 : Insertion de la clef dans le nouvel ordinateur
- 17:38 : La clef s'est complètement chargée, j'ai fini le questionnaire, je lance l'installation (avec reformatage complet ; sans installation des mises-à-jour).
- 17:43 : On est passé de "copie des fichiers", à "installation du système" (NB : cela ne m'a pas cassé les pieds pour que j'effectue l'opération tout en étant branché sur l'alimentation #ModeSunshine )
- 17:55 : Installation terminée, on redémarre !
- Arrrrrg, je tombe sur le GNU GRUB (
2.04
) reboot
ne fait rien de + .- 18:00, quand j'aurais le temps, j'exploiterai ceci :
- https://trisquel.info/fr/wiki/r%C3%A9parer-grub #KeepFingersCrossed
- Piste intéressante : https://www.unix-ninja.com/p/Manually_booting_the_Linux_kernel_from_GRUB avec
/efi/trisquel
à la place de\vmlinuz
?
Je me relance
- 12:30 : Les deux dernières pistes ci-dessus ne donnent rien. Le
sudo mount /dev/sda1 /mnt
puissudo grub-install /dev/sda --root-directory=/mnt
donnent une erreur. - 12:39 : En voulant appliquer une "réparation du grub" via l'outil
ppa:yannubuntu/boot-repair
, je me rends compte que je n'ai pas de réseau wifi disponible (après avoir démarré l'ordinateur avec une session live de Trisquel) :-( - 12:44 : Je pense que je vais re-re-partir sur une installation d'Ubuntu. Je suis content d'avoir découvert Trisquel, mais se heurter au GRUB n'est pas agréable. En testant la session live sur mon ordinateur courant, je tombe aussi sur GRUB 2.04 ; et franchement, je ne sais pas comment m'en sortir et ne trouve pas de ressource pour :-(
C'est bon ça : une carte mondiale francisée !
J'ai comparé : https://osmap.fr à gauche ; https://osm.org à droite : c'est le même fond de carte (celui dit « standard »), seul le texte change. La seule différence majeure est que le premier utilise des niveaux de zoom impair, et le second pair, sauf au niveau 19 qui est le + précis qu'ils proposent…
via https://shaarli.guiguishow.info/?LVtAHQ
Edition : à noter, il existe de telles versions dans 10 langues
https://www.osmap.uk anglais
https://www.osmap.de allemand
https://www.osmap.es espagnol
https://www.osmappa.it italien
https://www.osmap.nl néerlandais
https://www.osmap.dk danois
https://www.osmapa.cz tchèque
https://www.osmap.pl polonais
https://www.osmap.pt portugais

J'adore tellement cette musique, et cette interprétation au marimba (hylophone) est vraiment sympa et propre.
Lecture intéressante, pour soi ou plutôt pour les autres.
C'est intéressant comme méthodologie d'opposer la souffrance face aux ressources pour y faire face.
Et puis (très/trop résumé) :
- On peut s'en sortir ;
- Prendre du recul : 5 minutes, 1 jour, … ;
- Le soulagement est une sensation, qui nécessite d'être vivant pour la ressentir ;
- Il peut arriver que l'on trouve personne autour de soi pour en parler, mais il existe bien des personnes avec qui parler, ne serait-ce que que les centres spécialisées ;
- Prenez soin de vous, maintenant et après.
Nous avons bien une notion de « confiance » parmi les développeurs noyau, c’est ce qui nous permet d’être efficaces. Sauf que l’idée n’est pas de faire confiance aux gens pour toujours écrire des patchs parfaits, mais plutôt de leur faire confiance pour être dans les parages pour réparer les dégâts quand un de leurs patchs se sera avéré incorrect — ce qui arrivera, nous sommes humains et tout le monde fait des erreurs.
Mon moyen mnémotechnique pour le retenir :
- (Première couronne « évidente »)
- Le Belge se fait envoyer (deux fois l'ascenseur) par ses copains du rez-de-chaussée.
- Face à une porte, il avance dans le temps mais se fait couper la main par un laser.
- Il part loin, fait tomber sa chaise, et revient.
- Y'a les copains des deux côtés de l'immeuble qui passe lui faire coucou.
- Et il finit par reprendre sa « chaise rebondissante 3.

Ça c'est bien vrai ! Au perso j'utilise un Ubuntu ou équivalent depuis… 13 ans ? au perso cela fait peut-être 1 an, dans un contexte où personne ne se pose la question dans un cadre de « bureautique ». J'ai toujours un Dual Boot pour utiliser Word dans certains contexte ; mais pour le reste Windows ne me sert plus !
Reprise, traduction et commentaire de l'article
- Première impression : en effet, l'interface n'est pas homogène du tout et conserve des reliquats d'il y a 20 ans…
- On ne peut rien personnaliser : sur Ubuntu il est possible par exemple d'utiliser une police pour dyslexique sur l'ensemble des fenêtres…
- Les logiciels ne sont pas inter-connectables
- Les chemins stupidement long et incohérent : y'a encore besoin d'avoir un
C:/
?! Certes l'arborescence linuxienne n'est pas triviale, mais a du sens. - Variables d'environnements : /
- L'installation de logiciels : quelle plaie ! Même avec Ninite ou Chocolatey ce n'est pas aussi simple que du côte pingouin.
- Le terminal : /
- La récupération des paramètres au redémarrage : c'est pratique qu'Ubuntu (ou Mate) mémorise la position des fenêtres, dans les différents bureaux virtuels, parmi les écrans.
- Les bureaux virtuels : une fois que l'on y a goûté, c'est difficile de faire machine arrière.
- Les fenêtres sont toutes déplacées vers le moniteur principal après la mise en veille/arrêt : ah bah c'est ce que je disais avant …
- Pas de coller par clic-molette ; SSH : /
- Raccourcis clavier : clairement un point pour Buntu-world !
J'ajoute deux points que j'apprécie dans l'interface ubuntienne : pouvoir déplacer et redimensionner les fenêtres avec un [Alt]
+(clic souris — droit ou gauche)
; que la fenêtre sous le curseur de la souris prenne automatiquement le focus.