577 liens privés
To craft and care
To things well made
To the open road
To stop and go
To wider horizons
To every weather
To journeys past
To future discovery
To the everyday
To the unknown place
To freedom
To joy
To ride.
Wow, après l'excellent site de démo F4map*, en voici un autre qui charge les données OpenStreetMap pour donner un environnement dans lequel on peut se balader.
* : F4map est assez impressionnant. Il permet d'interpréter :
- les bâtiments, avec leur hauteur, couleur et forme de toiture
- les rues, avec nombre de voies et passages piétons
- le mobilier urbain, tels que fontaine, lampadaires, barrières, staues, cheminées
- les éléments naturels, avec les arbres leur taillle et type, les haies, pelouses, plans d'eau
et j'ai l'impression que cela gère aussi l'heure locale pour projeter les ombres…
cf l'île de la cité à Paris : https://demo.f4map.com/#lat=48.8554690&lon=2.3451059&zoom=19&camera.theta=75.13&camera.phi=-101.414
Pas mal ça : un moyen de se projeter dans une escapade en Europe avec le train ; là on sélectionne ses pays/villes et à la fin cela nous propose des dates et un pass interrail.
Je dois prochainement me rendre en Corse depuis « le continent ».
J'ai envie d'avoir un moindre impact écologique pour ce transport, d'autant + que « j'ai le temps » donc j'accepte que le trajet soit + long et avoir à jouer d'« intermodalité ».
Je cherche encore + profondément à comparer deux trajets, ne serait-ce qu'à titre indicatif mais avec des méthodes uniformes :
- Avion du point A au point B
- Train du point A à un port/point C ; bateau du point C au point B.
Calcul pas compliqué mais autant c'est facile d'avoir la comparaison train/avion/voiture ; autant avoir le bateau dans l'équation est compliqué.
Néanmoins là j'ai trouvé une page intéressante qui recense l'énergie nécessaire pour permettre à une personne de parcourir 100km (si j'ai bien compris). Ce qui donne :
- Marche = 6.1kWh
- Vélo = 3.2kWh
- Voiture thermique = 61kWh
- Voiture électrique = entre 8.6 et 16kWh
- Autocar = 20.9kWh
- Bus (urbain je suppose ?) = 47.7kWh
- Moto = 51.2kWh
- Avion = 52.3kWh
- Train = 11kWh
Et la même mais ordonnée :
- Vélo = 3.2kWh
- Marche = 6.1kWh
- Train=11kWh
- Voiture électrique = entre 8.6 et 16kWh
- Autocar = 20.9kWh
- Bus (urbain je suppose ?) = 47.7kWh
- Moto = 51.2kWh
- Avion = 52.3kWh
- Voiture thermique = 61kWh
Bon… Y'a pas photo !
Mais je n'ai toujours pas ma réponse :-D
Voir aussi cette image (tirée de l'article) qui présente que seuls ~5% de l'énergie contenue dans l'essence sert au roulage d'une voiture :-o
Enfin, je suis content de voir confirmer une information que j'avais lu ailleurs : pour une distance donnée, marcher nécessite 2 fois + d'énergie que le même parcours en vélo. Associé au fait qu'un vélo roule environ 4 fois + vite que marcher ==> à énergie+temps égaux, on va 8 fois + loin en vélo qu'à pied. Exemple, si je vais à pied à la boulangerie à 1km de chez moi, avec un vélo je peux aller à celle qui est à 8km… sans transpirer + !
(am I right?)
Tiens, je me le garde sous le coude pour inverser l'usage des touches Home
et End
avec PgUp
et PgDn
; les premières ne sont accessibles qu'avec la touche Fn
en cliquant sur les deuxièmes. Sauf que celle-ci ne sont pas ma priorités.
via https://framablog.org/2022/02/12/detestons-facebook-mais-pour-de-bonnes-raisons/
via https://sebsauvage.net/links/?yky_gA
via https://ecirtam.net/shaarlirss/
Quand je vois ce genre de projet avec des petits robots soi-disant autonome ; cela me laisse toujours dubitatif quant à l'application dans le monde réel.
Et là, je me dis que déjà qu'autour de chez moi y'a des endroits galères pour les poussettes ou les fauteuils roulants (petit pub pour wheelmap.org ;-) ) alors l'idée d'un truc motorisé qui fait la taille d'un banc est juste comique !
« Dans l'eau, […] j'ai conscience de ma masse mais pas de mon poids.»
ISBN 978-2-344-03288-2
J'aime bien celle-là.
Je me questionne sur l'histoire derrière ces paroles. Mais j'aime bien le ton, l'instru ; et sa voix :-D
Y'a une procédure pour transférer son compte d'un téléphone à l'autre.
D'ailleurs j'ai installé Molly (la version « -FOSS » d'ailleurs) et ça fonctionne. Est-ce que c'est mieux ? Je ne sais pas… Mais c'est probablement moins pire que WhatsApp ; au moins il y a des alternatives.
Essai Trisquel
Préambule
- Récupération de l'iso de Trisquel ; la particularité de cet OS est d'être 100% libre
- Installation du lourd Etcher pour :
- Création d'une clef USB bootable (essais infructueux avec UnetBootIn et Ventoy…)
- Démarrage du PC et test du clavier, des touches de fonction, du wifi, du son, de la webcam. L'interface étant Mate, c'est plutôt esthétique, une fois que les applis sont chargées en mémoire il n'y a pas de lenteur. On retrouve tout ce que l'on attend d'un OS, y compris VLC, un Firefox-like et la suite LibreOffice.
Installation
-
Top chrono, il est 17:57, je lance l'installation (avec téléchargement des mises à jour et effacement préalable du disque).
-
18:16 : cela me propose de rebooter.
-
18:17 : je butte sur le grub ; je ne m'y attendais pas…
-
18:25 : je m'en sors avec ceci, mais butte sur
initramfs
:set root=(hd0,gpt2) linux /boot/vmlinuz-4.15.0-161-generic root=/dev/sda1 ro initrd /boot/initrd-4.15.0-161-generic.img boot
-
18:36 : Je fais quelques commandes
fsck
puisreboot
et je retombe sur le Grub (et là je suis attentif au fait que c'est Grub 2.04…) -
18:47 : Je redémarre avec la clef bootable… et m'intéresse à cette partie :
Cas particulier de la version 21.04
Cette version installe automatiquement la structure de boot EFI y compris lorsque l'ordinateur n'est pas équipé de cette fonctionnalité. La réparation à faire est la suivante:
- Booter avec le support d'installation.
- Lancer gparted
- Mettre le drapeau bios_grub dans la partition de boot FAT32 afin de la transformer en partition bios-boot
- En profiter pour mémoriser la partition contenant le logiciel ubuntu. Par exemple /dev/sda2
- Quitter gparted et monter la partition ubuntu grâce à cette commande
sudo mount -v /dev/sda2 /mnt
- Faire l'installation du grub légacy grâce à cette commande
sudo grub-install --boot-directory=/mnt /dev/sda
- Après la dernière commande ci-dessus, je fais un
reboot
. Après initialisation j'ai un écran noir. J'éteins à chaud la machine puis redémarre. Je retombe sur le grub… - 19:01 : Je me lance dans le flashage d'une seconde clef avec un iso d'Ubuntu Mate 20.04.3 que j'avais récupéré en parallèle de Trisquel.
Divers
Le contexte est de recycler un de mes anciens ordinateurs pour un adolescent. Donc création d'un compte « admin » pour moi, un compte parent avec droits étendus, et un compte enfant avec droits restreints. À voir l'installation d'un contrôle parental par la suite.
Le premier usage sera aussi d'installer ???. Il faudra peut-être aussi apposer des autocollants à poser sur le clavier qwerty.
Rappel de la conf : 3,7GiB de mémoire ; Intel Celeron(R) CPU N3060 @ 1.60GHz × 2 ; DD de 500Go
Essai Ubuntu
- 19:08 : je boot et lance directement l'installation sans essai
- 19:18 : après un check-disk, cela me propose d'effacer les partitions et installer l'OS
- 19:45 : reboot après installation
- 19:50 : le système fonctionne
Après installation, je configure les comptes et j'installe ctparental
Test et suite à donner
- Prise en main : OK. La chance est que l'utilisateur connaît déjà Windows, Mac, Android et iOS. Ça facilite pour expliquer que le truc sur iOS ne fonctionnera pas sur « Linux / Ubuntu » (j'essaye d'inculquer ce vocabulaire).
- En terme de contrôle, 1 déception est que — contrairement à mon essai initial — il est possible d'ajouter un nouvel accès réseau sans mot de passe admin. Par contre pour installer un logiciel, c'est OK.
- Du coup grosse question sur la gestion de
ctparental
: est-ce qu'il fonctionne si je ne l'ai pas lancé depuis un compte admin ?… - Un des intérêts principaux était de pouvoir utiliser en autonomie
mblock
(dont je ne trouvais plus le nom, à part que c'était dérivé descratch
), donc sans réseau ni admin. Bah… finalement y'apasplus d'installeur pour Linux :-( - Enfin s'est posée la question d'installer Steam, le contrôle que l'on peut avoir ou non dessus.
- Quant à la machine, 2 améliorations à prévoir : acheter des autocollants azerty :-D , et activer un genre de “preload” des applications courantes : une fois lancées, elles sont fluides ; mais elles peuvent être sacrément longues à charger…
Suite au prochain épisode.
Bon… je me pose ça là…
Dans mon apprentissage du sitelen toki (oui : pour le toki pona), je me suis amusé (avec une feuille et un stylo) à regrouper des symboles qui ont des similarités. Par exemple toutes les couleurs ont un triangle ; kon (l'air) et telo (le liquide) sont le même symbole mais incliné de 90°.
Et du coup je voudrais, automatiquement, regrouper cela avec des bulles, qui s'intersectent pour les ensembles commun. Je penses que cela facilitera l'apprentissage (même si — grâce à AnkiDroid — je maîtrise cette langue).
Mais voilà, je ne trouve pas de ressource permettant de générer un diagramme d'Euler ; alors je vais me créer un shaartag "euler" pour consigner les quelques pistes que j'ai.
Wow, c'est old ça !
Je cherchais l'orthographe de l'interjection plutôt brit “hiya” (et non pas “haya”, ni “heya” comme écrit en titre ou ci-dessous cf WordReference ) qui serait la contraction de “hi”+“you/ya” ; et finalement je tombe sur cette ordre des formules d’interpellation
- hello : used when you meet someone, or when you start a telephone conversation. In everyday English, most people usually say hi because it sounds more friendly. You use hello especially when talking to people you do not know well, or to older people
- hi : used as a friendly greeting when you meet someone start a telephone conversation, or at the beginning of an email
- hey : (especially American English informal) used as a friendly greeting when you see someone you know well and you want to start talking to them
- hiya : (informal) used as a very informal greeting when speaking to someone you know well
Donc c'est OK de croiser quelqu'un et dire “hello”, ou de décrocher son téléphone en commençant ainsi. “hi” marchera bien avec des gens déjà connu.
Excellent, un petit outil libre pour créer des images amusantes, type "polaroid". On sélectionner une illustration au choix :
- animaux
- comic
- photo
- tête
Et on rajoute le texte qui nous va.
Il y a tellement de choix, et sur des images tellement répandus que vous trouverez forcément chaussure à votre pied !
via https://sebsauvage.net/wiki/doku.php?id=nft
Un outil par Bronco : http://warriordudimanche.net/article736/poladroid-tu-veux-ma-photo
Ce petit passage de piano vers 55' pour terminer le mix est juste excellent !
Après un joli freeze de mon interface, j'ai essayé de faire quelque-chose avec les tty. Mais n'ayant que peu l'occasion de l'utiliser, j'étais un peu démuni. Merci le smartphone :-)
Du coup :
- on trouve son premier télétype soit avec
[Ctrl]
+[Alt]
+[F1]
(c'est mon cas sur Ubuntu Mate) ou[Ctrl]
+[Alt]
+[F3]
; pour récupérer celui avec l'interface graphique c'est soit[F7]
, soit[F1]
. - pour voir « le monde », on peut faire un
who
ou untty
- et avec Korben (il a l'avantage d'être plutôt fiable selon sa hauteur dans les réponses d'un moteur de recherche), la commande
top
me revient - et on peut tuer un process avec
kill -9 <pid>
ou bien le recharger aveckill -1 <pid>
.
That's all folks!
Édition-2022-01-26T23:25 : puisque Seb m'envoie du trafic (PS : ça fait plaisir de voir que tu me lis toujours ;-) ), alors je vais me garder sous le coude ici ses astuces car je pourrais en avoir besoin ultérieurement :
Astuces supplémentaires:
htop est bien meilleur que top:
- touche "P" pour voir les processus qui consomment le plus de CPU
- "M" : même chose pour la mémoire vive
- "t" pour voir la hiérarchie des processus (qui a lancé qui).
- "H" pour afficher/masquer les threads des processus (je recommande de masquer)
- F3 pour rechercher un processus
- F4 pour filtrer les processus
- "k" pour tuer un processus. Envoyer d'abord 15 (SIGTERM) pour lui demande gentiment de s'arrêter. S'il n'obéit pas, le tuer avec un 9 (SIGKILL)
pkill nomduprocessus est plus pratique que kill (il a même l'auto-complétion: pkill st
te donnera steam) Quand tu as ton terminal avec CTRL+ALT+F1/F2/F3, si la machine n'arrive pas à te donner la mire de connexion, tu peux lui balancer un CTRL+ALT+SUPPR dans la tronche pour le forcer à rebooter (ça va quand même le forcer à flusher le cache disque).
Si par hasard ce sont les accès disque qui mettent la machine par terre, un "sudo iotop" te montrera les applications qui font le plus de lectures/écritures disque.
D'une manière général quand une machine ne répond pas bien, il s'agit de l'un des 4 goulots d'étranglement:
- le CPU
- la mémoire
- le disque
- le réseau
top/htop te permettent d'examiner la consommation CPU et mémoire.
iotop te permet de voir celle du disque.
pour le réseau, il y a nethogs.
Édition-2022-01-26T23:27, ah, on me glisse dans l'oreille que htop
, iotop
, et nethogs
nécessitent d'être installés au préalable ; ce n'est pas le cas (sur Ubuntu Mate 20.04) pour pkill
.
« Selon les statistiques, il y a une personne sur cinq qui est déséquilibrée. S'il y a 4 personnes autour de toi et qu'elles te semblent normales, c'est pas bon. »
Mythique !