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« About 40g fresh weight of soap is equivalent to 1 liter of liquid soap »
Voilà pourquoi je fais ma vaisselle avec un savon en barre (déposé dans une boîte plate — une boîte à sardines en fait)…
Je suis tombé là-dessus car je me notais l'idée d'un distributeur à savon râpé, par exemple.
Intéressant ce site ! Ça fait réfléchir ; c'est clairement un sujet où les mentalités, les connaissances doivent évoluer.
« Le fait d’obliger les gens à mettre des masques en toutes circonstances, même quand ça ne sert à rien, est aussi une manière de leur demander d’être obéissants plutôt que d’être intelligents. »
Je cherchais la notion de GO/NOGO et en lisant ce document, j'apprends que le “No Go” est à la base une notion où l'avion est en bout de piste mais qu'il ne décollera effectivement pas. Ici c'est le fait d'emmener un patient au bloc et d'arrêter le processus d'opération avant de l'inciser.
Je découvre donc dans ce document « aide cognitive POuR – DÉCider » : « L’objectif […] est de fournir, face à une situation inattendue, un outil structuré pour la prise de bonnes décisions en cas d’absence de procédures ou de règles préexistantes et quand une mauvaise décision peut avoir des conséquences graves. »
Cette aide cognitive comporte 3 parties :
- la partie POuR : concerne le processus cognitif (réflexion) qui doit être mené.
- le trait d’union – reliant POuR et DÉCider représente le temps indispensable d'échange en équipe.
- la partie DÉCider : concerne le processus de décision et de mise en œuvre de la solution choisie.
Abr. | Terme | Question |
---|---|---|
P | Problème | Quel est le problème ? |
Ou | Options utiles | Quelles sont les options utiles et possibles ? |
R | Risques | Quels sont les risques et avantages de chaque option ? |
- | Échange | Échange et partage en équipe |
D | Décision | Que faisons-nous ? |
É | Exécution | Qui fait quoi ? Quand ? Comment ? |
Cider | Contrôle | Est-ce que tout s’est déroulé comme prévu ? |
Obvious mais ça fait du bien de le rappeler :
« Pour rappel, les tests sérologiques, en complément de la RT-PCR [tests virologiques], peuvent permettre de répondre à la question "suis-je ou ai-je été malade du COVID ?". En revanche, les tests sérologiques ne permettent pas de répondre à la question "Suis-je contagieux ?". Enfin, ils ne permettent pas encore de répondre à la question "Suis-je protégé contre le COVID-19 ?". »
En diagnostic initial ou de rattrapage :
- en diagnostic initial pour les patients symptomatiques graves hospitalisés, dont la RT-PCR est négative, mais chez qui les symptômes cliniques ou le scanner sont évocateurs d'un COVID- 19 ;
- en diagnostic de rattrapage de patients symptomatiques graves hospitalisés, mais qui n'ont pas eu un test RT-PCR dans les sept premiers jours ;
- en diagnostic initial de patients symptomatiques sans signes de gravité, suivis en ambulatoire dont le test RT-PCR est négatif, mais dont le tableau clinique est évocateur ;
- en diagnostic de rattrapage de patients symptomatiques sans signes de gravité, suivis en ambulatoire, mais chez qui un test RT-PCR n'a pu être réalisé avant 7 jours ;
- en diagnostic différé des patients symptomatiques sans signes de gravité diagnostiqués cliniquement, mais n'ayant pas fait l'objet d'une RT-PCR et ce depuis la mise en place de la phase 2 (à partir du 2 mars 2020).
Quand prescrire un test sérologique chez un patient symptomatique ?
Les résultats du test sérologique ne sont pas pertinents dans la semaine suivant l'apparition des symptômes, puisque la production d'anticorps intervient plusieurs jours après l'entrée du virus dans l'organisme.
Avant de réaliser un test sérologique chez des personnes symptomatiques en vue de confirmer le diagnostic (test virologique négatif) ou pour appuyer un diagnostic de rattrapage (test virologique non réalisé), la HAS a recommandé, lors de sa conférence de presse du 2 mai 2020, de respecter :
- un délai de 7 jours minimum après l'apparition des symptômes, en présence de signes de gravité,
- un délai de 14 jours minimum après l'apparition des symptômes, en l'absence de signes de gravité.
Elle est tellement parlante cette image.
- Le titre est "Burnout".
- Dans la première case, on voit un gars devant un ravin dans lequel il y a une "soupe" d'anomalies (représentées par des insectes/bugs) et des spaghetti. Une pancarte "Monday" le pousse à avancer vers cela. Son visage n'est pas du tout enjoué.
- Dans la seconde case, on voit à nouveau le gars se sortir péniblement du ravin, il a un pied/tentacule qui le retient à son pied. Un panneau sur la berge indique "Friday". Il a le visage amoché.
- Dans la troisième case, on le voit dans son lit, des gens sont autour et il dit "I can't do this anymore".
- Dans la quatrième et ultime case, on le voit à nouveau devant la pancarte "Monday". Là deux "anges" prennent place : le premier "Shame" lui intime sévèrement du doigt de se plonger à nouveau dans le ravin/soupe de bugs ; le second "Fear" le retient pour ne pas qu'il franchisse le pas.
Traduction :
- Monday = lundi
- Friday = vendredi
- I can't do this anymore = je ne peux plus faire ça
- Shame = honte
- Fear = peur
Alors… dans les déodorants, le "pas bien", c'est le chlorhydrate d'aluminium (autrement appelé chlorure d'aluminium ou chlorohydrate d'aluminium). Si je comprends bien, c'est lui que l'on désigne aussi par "sel d'aluminium" (ou bien c'est le chlorure d'aluminium ?).
Les aluns sont des sels également mais des sels double… Plus précisément c'est un « type de composé chimique, en général un sel double de sulfate d'aluminium hydraté[…]. En lui-même, le terme « alun » est souvent utilisé pour désigner l'alun de potassium ». Donc l'alun ordinaire « est aussi appelé […] disulfate d'aluminium et de potassium ». Il ne faut pas se leurrer, il aura beau être estampillé "naturel", il est systématiquement synthétisé pour faire face à la demande mondiale !
Enfin, bien que l'on ne puisse pas affirmer que la "pierre d'alun" soit inoffensive, ça reste beaucoup "moins pire" qu'un déodorant "classique".
Édition 2020-07-06T23:39 : il conviendrait de se méfier entre les pierres "naturelles", "reconstituées" et "synthétiques" ; ces dernières pouvant être constituées d'ammonium alum.
Dans ma recherche à la mise en évidence de l'intérêt de désinfecter son masque grand public confectionné dans un tissu résistant au repassage, je suis tombé sur cette information d'une source sérieuse :
Heat at 56°C kills the SARS coronavirus at around 10000 units per 15 min (quick reduction).
(Attention, cela parle du SARS au sens du virus connu en 2003 ; d'ailleurs l'article date de cette période).
On peut aussi lire sur le site de l'ANSES :
un traitement thermique à 63°C pendant 4 min […] permet de diviser par 10'000 la contamination
Maintenant quid d'une température largement supérieure à 100°C pendant disons 1 minute ? J'ai mesuré (avec un thermomètre de cuisine, style ceux faits pour planter dans les ingrédients pour vérifier la température à cœur) sous mon tissu repassé avec le fer à température maximale (avec 3 points « ⋅⋅⋅ », soit « au moins 220°C ») et la vapeur, en quelques secondes je dépasse les 100°C. Et cela peut être effectué sur l'ensemble du tissu : on peut supposer que la pénétration de la chaleur est assez uniforme et profonde dans les fibres. (Rappel : mon masque est une couche simple de tissu 100% coton de denim/jean/sergé).
Au vu des informations présentes et jusqu'à lecture contradictoire, je reste persuadé qu'un repassage en profondeur sur tout le tissu à température maximale avec vapeur permanente est suffisant pour une réduction significative de la charge virale potentielle d'un masque en tissu « grand public ».
Complément 2020-05-18T18:32 : pour information le principe d'upérisation (utilisé pour le lait UHT) nécessite 150°C pendant moins d'une seconde.
Et si…
- … on n'arrivait pas à trouver un vaccin (cf le VIH/SIDA) ?
- … l'immunité collective était très longue à atteindre (plusieurs années) ?
- … l'immunité collective nécessitait un très fort pourcentage de la population (sup. à 99%) ?
- … l'immunité collective ne marchait pas (trop de rechute, immunité individuelle qui disparaît après quelques semaines) ?
- … on pouvait être largement affecté, en plus des symptômes habituels, par la surréaction du système immunitaire (choc cytokinique) ?
- …
Je vais faire une transcription de l'information officielle qui malheureusement n'est diffusée que sous forme d'image :
Comment bien porter son masque
À faire
- Avant de mettre ou enlever le masques, lavez-vous les mains avec de l'eau et du savon ou une solution hydro-alcoolique.
- Pour le mettre :
- Tenez le masque par les lanières élastiques.
- Ajustez le masque de façon à couvrir le nez, la bouche et le menton.
- Pour l'enlever : décrochez les lanières élastiques pour décoller le masque de votre visage.
- Il faut changer le masque :
- Quand vous avez porté le masque 4h.
- Quand vous souhaitez boire ou manger.
- Si le masque s'humidifie.
- Si le masque est endommagé.
À éviter
- Évitez de le toucher ou de le déplacer.
- Ne le mettez jamais en position d'attente sur le front ou sur le menton.
- Ne mettez pas le masque dans votre poche ou votre sac après l'avoir porté. En attendant de le laver, isolez-le dans un sac plastique.
- Attention : si vous êtes malade, ce masque n'est pas adapté. Demandez l'avis de votre médecin.
- Ce masque n'est pas destiné au personnel soignant.
Comment entretenir son masque
- Lavez le masque à la machine avec de la lessive. Au moins 30 min à 60°C minimum.
- Utiliser un sèche-linge ou un sèche-cheveux pour sécher votre masque, ou encore, le faire sécher à l'air libre sur une surface désinfectée.
Attention particulière
Ce masque ne remplace pas les gestes barrières. Il ajoute une barrière physique, lorsque vous êtes en contact étroit avec d'autres personnes.
- Lavez-vous très régulièrement les mains.
- Toussez ou éternuez dans votre coude ou dans un mouchoir.
- Utilisez un mouchoir à usage unique et jetez-le.
- Saluez sans se serrer la main, évitez les embrassades.
- Respecter une distance de 1 mètre.
Il est vraiment bien ce site !
À lire, relire et surtout à diffuser. L'information est vraiment très claire.
Y'a une liste de tuto et tout, les arguments sont présentés. Vraiment bonne démarche pédagogique ; ce dont on a besoin actuellement.
J'aime particulièrement le tuto à base de tee-shirt + la paire de ciseaux ; et basta.
Et aussi j'aime bien l'échelle protéger les autres / se protéger avec les différents gestes barrières (qu'il faut cumuler) au mieux.
Transcription :
Rester à la maison > Porter un masque barrière / EAP > Rester à un 1m de distance les uns des autres > Ne pas se serrer la main > Éternuer dans son coude ou un mouchoir jetable > Se laver les mains > Porter un masque chirurgical/N95/FFP*
Enfin, ce que j'ai lu hier et que je trouve pertinent : en complément de "porter un masque sera toujours mieux que ne pas porter de masque du tout" ; je me poses beaucoup de question sur le bon matériau (outre le fait que l'on sait déjà que cela doit couvrir nez+bouche+menton) ; finalement les problèmes avec des masques DIY ne sont pas tellement dans le modèle, la couture ou le matériau mais plutôt dans la manipulation.
Alors on se fait un masque, oui ; mais surtout on l'utilise correctement, c'est à dire :
Avant la sortie
- Je me lave les mains avec de l’eau et du savon ou avec une solution hydro-alcoolique
- Je ne manipule l’écran que par les lanières (pas de contact avec l’EAP pour ne pas l’humidifier)
- J’installe l’EAP avant de sortir de chez moi
- Pour bien ajuster, il est recommandé de ne pas avoir certains types de barbes !
Pendant la sortie
- Je ne touche pas l’écran lorsqu’il est en place (s’il a bougé, vous pouvez uniquement le déplacer en jouant sur les lanières, pas en touchant la partie externe).
- Je ne le déplace pas sur le front ou le menton (zones du visage à considérer comme potentiellement souillées, et donc l’écran pourrait remonter ces germes vers votre bouche)
- Idéalement, je ne l’enlève pas quand je suis à l’extérieur (il y a un risque de transmission du virus si les mains touchent la bouche ou le nez).
- L’EAP doit toutefois être changé dans les situations suivantes : après 4h, pour boire-manger, si le masque est humidifié (pluie, éternuements répétés…), si le masque est endommagé.
Après la sortie
- Je me lave les mains avec de l’eau et du savon ou avec une solution hydro-alcoolique avant de toucher l’EAP.
- Je n’enlève jamais l’EAP en présence d’autres personnes. Je retire l’EAP par les lanières (sans toucher la face externe, à considérer comme contaminée), en limitant le contact avec la partie exposée (externe) de l’écran.
- Je me lave à nouveau les mains au savon ou à la solution hydro-alcoolique après le retrait.
Devenirs possibles de l’EAP après l’utilisation
- Soit je le jette à la poubelle immédiatement s’il est à usage unique.
- Soit je le stocke dans un sac plastique ou une boîte hermétique (à nettoyer ensuite a l’eau de javel) si je ne peux pas le désinfecter aussitôt. Ne pas le mettre dans sa poche ou son sac.
- Soit je le désinfecte s’il est en tissu réutilisable : je peux le passer le laver à 60° pendant 30 minutes avec un détergent, idéalement en machine à laver, possiblement à la main (réf de l’ECDC, le virus est inactivé après 30 minutes à 56°).
- Il faut ensuite le faire sécher au sèche-linge, sèche-cheveux ou à l’air loin de toute source de contamination. Idéalement le séchage doit être fait rapidement (idéalement dans les 2 heures), pour éviter la prolifération de levures sur ce tissu à remettre ensuite sur votre visage. Après plusieurs cycles, les fibres vont se resserrer et le masque va devenir moins respirable : il faut en changer régulièrement.
J'ai encore relu ce document qui semble être la seule source officielle concernant les différents types de tissus.
- via https://www.gouvernement.fr/fabriquer-un-masque-tutoriels-et-recommandations
- puis https://masques-barrieres.afnor.org/home/faire-mon-masquebarriere
Problème, outre les erreurs existantes dans le tableau, la mise à disposition uniquement en pdf alors qu'un tableau aurait permis de filtrer plus facilement, et outre les difficultés de compréhension des termes concernant la classification des matériaux. J'ai essayé de chercher le tissu ayant servi pour la confection de mon masque 3-plis 1 couche, à savoir un jeans 100% coton (PES signifant PolyESter).
Alors, ce n'est pas du "jersey", ni du "non-tissé", je penche plutôt pour un "sergé" ; probablement dans les 330g/m². Je trouve donc les références suivantes :
42
: 1 couche, 120g, PES = conforme43
et suivant : idem que42
mais en multi-couche = non-conforme48
: 1 couche, 160g, coton = conforme49
: 1 couche, 100g, PES = non-conforme50
: 2 couches : coton160g+PES100g = non-conforme195
,199
: 3 couches = non-conforme201
: 2 couches : coton160g+PES115g = non-conforme647
: 1 couche : 35%coton/65%PES 200g = conforme
Donc j'en conclus :
- En sergé, il ne faut qu'une seule couche.
- Elle ne doit pas être trop fine. Quid si trop épaisse pour la respirabilité ? Il y a par exemple
125
avec 2 couches en jersey de 210g 100% coton qui est conforme ; mais le124
à 2 couches de 280g ne l'est pas (mais pas à cause de la respirabilité…). - Le mélange coton PES+coton semble OK.
Je vais devoir me fabriquer d'autres masques prochainement ; et je compte donc rester sur ma formule : 3 plis, 1 couche, toile de jeans "standard".
C'est bien ça, on peut trouver des masques grands publics autour de chez soi ! Pas mal
Le comédien a confié à Mediapart une longue réflexion, lue face caméra chez lui, sur ce que la pandémie révèle du pays qui est le nôtre, la France, sixième puissance mondiale empêtrée dans le dénuement (sanitaire), puis le mensonge (gouvernemental) et désormais la colère (citoyenne). Un texte puissamment politique, avec un objectif: ne pas en rester là.
Je n'ai lu que partiellement la transcription mais y'a du bon !
Très bon document, publication datant d'hier, 3 mai.
Pour ouvrir le sujet du traçage mais à une autre pandémie : le VIH/SIDA ; petit « revue de presse » avec date et lieux de différents sujets.
- 2013 : ouverture d'un moratoire aux USA suite à une actrice qui ne peut pas être couverte par l'assurance après avoir été infecté (mais impossible de savoir depuis qui) et qui a (probablement) infecter d'autres personnes (alors qu'elle avait pris de l'avance sur son test régulier)
- 2015 : en France c'est capote obligatoire (ou « fortement recommandée » ?) ; mais en Roumanie/République Tchèque/USA c'est test régulier toutes les 3 semaines.
- 2012 : certains studios américains demandent des tests tous les 28 jours, d'autres tous les 14 jours.
Comme je le suggérais en décembre dernier (prémonition ?…) : le masque facile contre le COVID19/Sars-Cov2, c'est la capote contre le SIDA/VIH !
Pour « parler d'autre chose », je vous invite à jeter un œil au graphique sur Wikipédia concernant l'épidémiologie voire l'article consacré au sujet avec notamment la prévalence. PS : en France (selon ce dernier article) : c'était 130000 personnes en 2005 vivant avec le VIH.
PPS : mon avis sur l'appli de "traçage" : seules les personnes faisant partie du corps médical peuvent partager des informations médicales me concernant sans mon consentement.
Bonjour à toutes et tous, Ce tuto est dédié à toutes les personnes ne possédant pas de machine à coudre. Et oui beaucoup souhaitent faire des masques mais pa...
Sympa ça ; quelque tutos faciles complémentaires pour se faire un masque ; dont la méthode : 1 tee-shirt + 1 paire de ciseaux, et c'est tout.
Jusqu’à quand ? Les mesures de distanciation sociale et de confinement strict doivent permettre de freiner et reprendre le contrôle de l’épidémie de SARS-Cov...