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On arrête d'attendre,
et on accepte l'incertitude.
Sous le coude en complément de l'application dispo sur Fdroid et qui n'a besoin d'aucunes autorisations. Et en complément dr la page officielle qui nécessite de renseigner à nouveau pas mal d'informations.
Allez, c'est reparti !
Nous sommes un groupe de scientifiques avec des expertises complémentaires. Nous analysons les publications sur la COVID-19, dans les journaux spécialisés de science et de médecine. Notre but est de diffuser et d’expliquer le sens des bonnes pratiques collectives permettant de stopper la propagation du virus et de retrouver une vie sociale sécurisée. [̣…]
Notre approche est scientifique, rationnelle et transparente : citation des sources, analyse critique de faits expérimentaux, évaluation de la solidité des conclusions, confrontation de différentes sources, recherche du point de consensus.
J'ai parcouru quelques pages du site et cela me semble en effet vraiment sérieux surtout que les sources sont toujours facilement accessible. C'est devenu ma troisième source d'information après 1. les données de l'OMS et 2. mon sens critique sur tout ce que je peux lire ou entendre.
Un autre site permettant de visualiser les informations.
Contrairement à Worldometer, ici on est centré uniquement sur la France.
La représentation est intéressante. Par contre je regrette que les données ne remonte pas très loin (environ un mois) ; cela permettrait en plus cela permet d'avoir aussi une vue à plus d'un mois et donc de se faire une idée plus générale (« deuxième vague » #toussa).
« Le fait d’obliger les gens à mettre des masques en toutes circonstances, même quand ça ne sert à rien, est aussi une manière de leur demander d’être obéissants plutôt que d’être intelligents. »
Obvious mais ça fait du bien de le rappeler :
« Pour rappel, les tests sérologiques, en complément de la RT-PCR [tests virologiques], peuvent permettre de répondre à la question "suis-je ou ai-je été malade du COVID ?". En revanche, les tests sérologiques ne permettent pas de répondre à la question "Suis-je contagieux ?". Enfin, ils ne permettent pas encore de répondre à la question "Suis-je protégé contre le COVID-19 ?". »
En diagnostic initial ou de rattrapage :
- en diagnostic initial pour les patients symptomatiques graves hospitalisés, dont la RT-PCR est négative, mais chez qui les symptômes cliniques ou le scanner sont évocateurs d'un COVID- 19 ;
- en diagnostic de rattrapage de patients symptomatiques graves hospitalisés, mais qui n'ont pas eu un test RT-PCR dans les sept premiers jours ;
- en diagnostic initial de patients symptomatiques sans signes de gravité, suivis en ambulatoire dont le test RT-PCR est négatif, mais dont le tableau clinique est évocateur ;
- en diagnostic de rattrapage de patients symptomatiques sans signes de gravité, suivis en ambulatoire, mais chez qui un test RT-PCR n'a pu être réalisé avant 7 jours ;
- en diagnostic différé des patients symptomatiques sans signes de gravité diagnostiqués cliniquement, mais n'ayant pas fait l'objet d'une RT-PCR et ce depuis la mise en place de la phase 2 (à partir du 2 mars 2020).
Quand prescrire un test sérologique chez un patient symptomatique ?
Les résultats du test sérologique ne sont pas pertinents dans la semaine suivant l'apparition des symptômes, puisque la production d'anticorps intervient plusieurs jours après l'entrée du virus dans l'organisme.
Avant de réaliser un test sérologique chez des personnes symptomatiques en vue de confirmer le diagnostic (test virologique négatif) ou pour appuyer un diagnostic de rattrapage (test virologique non réalisé), la HAS a recommandé, lors de sa conférence de presse du 2 mai 2020, de respecter :
- un délai de 7 jours minimum après l'apparition des symptômes, en présence de signes de gravité,
- un délai de 14 jours minimum après l'apparition des symptômes, en l'absence de signes de gravité.
Quand on lit
Merci de valider le captcha.
on peut comprendre
Merci de partager vos informations de santé avec Google.
NB : évidemment c'est bien un reCaptcha :-(
Alors avant c'était :
- #RestezChezVous
- « Le masque est inutile »
Aujourd'hui c'est :
- Le masque obligatoire dans les lieux clos
- Masque en permanence au travail
- Et… dans la rue !
Si j'essaye d'en rire (un peu), n'est-ce pas une manière de nous forcer à rester chez soi à nouveau. --> Est-ce que ça ne serait pas… comme… un confinement masqué ? ! :-D
Allez : bisous bisous
Thread by @Panda31808732: 1. Un point sur la deuxième vague en France. 1b. D'abord, pour se rendre compte de la vitesse du phénomène. J'ai posté ce fil il y a 23 jours (barre noire), regardez l'évolution...…
Bon.... Va falloir être à nouveaux plus rigoureux !
Ça fait du bien !
Surtout le final.
Couchsurfing s'est cassé la gueule avec la crise sanitaire du covid. Et maintenant pour accéder au site, soit tu payes… soit tu payes ! Que l'on soit host ou surfer, c'est pareil !
Ils ont fait un autre billet pour s'expliquer : https://blog.couchsurfing.com/we-hear-you/ et parmi les réponses y'en a une qui correspond à mon sentiment :
18) Ne tenez-vous pas mes données en otage ?
Non. Nous comprenons que certains d'entre vous pensent que nous gardons vos profils "en otage" ou exigent que vous payiez une "rançon", et nous nous en excusons. Ce n'était pas l'intention que nous avions en essayant de rallier la communauté autour du sauvetage de Couchsurfing.
Bah ouais, bah pendant ce temps là, je ne peux même pas accéder à mon compte. Ok pour ne plus créer de nouveau contact. Mais là, je peux même pas supprimer mon compte, ni corriger mon mot de passe… Rien !
Ils ont clairement misés sur un mauvais modèle commercial. Du jour au lendemain, ils passent (par la force) de 5% de comptes payants à 100%… Àmha, ils vont encore + se casser la gueule.
Édition 2020-08-09T18:23 : WarmShowers a fait un choix moins radical, et à mon sens + intelligent :
Qu'est-ce que cela signifie pour nos utilisateurs? Eh bien, pour les NOUVEAUX utilisateurs, nous aurons maintenant des frais d'inscription uniques et raisonnables de 30,00 $ US pour un accès à vie à notre réseau. Ces frais ne seront pas facturés aux utilisateurs actifs existants.
Dans ma recherche à la mise en évidence de l'intérêt de désinfecter son masque grand public confectionné dans un tissu résistant au repassage, je suis tombé sur cette information d'une source sérieuse :
Heat at 56°C kills the SARS coronavirus at around 10000 units per 15 min (quick reduction).
(Attention, cela parle du SARS au sens du virus connu en 2003 ; d'ailleurs l'article date de cette période).
On peut aussi lire sur le site de l'ANSES :
un traitement thermique à 63°C pendant 4 min […] permet de diviser par 10'000 la contamination
Maintenant quid d'une température largement supérieure à 100°C pendant disons 1 minute ? J'ai mesuré (avec un thermomètre de cuisine, style ceux faits pour planter dans les ingrédients pour vérifier la température à cœur) sous mon tissu repassé avec le fer à température maximale (avec 3 points « ⋅⋅⋅ », soit « au moins 220°C ») et la vapeur, en quelques secondes je dépasse les 100°C. Et cela peut être effectué sur l'ensemble du tissu : on peut supposer que la pénétration de la chaleur est assez uniforme et profonde dans les fibres. (Rappel : mon masque est une couche simple de tissu 100% coton de denim/jean/sergé).
Au vu des informations présentes et jusqu'à lecture contradictoire, je reste persuadé qu'un repassage en profondeur sur tout le tissu à température maximale avec vapeur permanente est suffisant pour une réduction significative de la charge virale potentielle d'un masque en tissu « grand public ».
Complément 2020-05-18T18:32 : pour information le principe d'upérisation (utilisé pour le lait UHT) nécessite 150°C pendant moins d'une seconde.
Et si…
- … on n'arrivait pas à trouver un vaccin (cf le VIH/SIDA) ?
- … l'immunité collective était très longue à atteindre (plusieurs années) ?
- … l'immunité collective nécessitait un très fort pourcentage de la population (sup. à 99%) ?
- … l'immunité collective ne marchait pas (trop de rechute, immunité individuelle qui disparaît après quelques semaines) ?
- … on pouvait être largement affecté, en plus des symptômes habituels, par la surréaction du système immunitaire (choc cytokinique) ?
- …
Je vais faire une transcription de l'information officielle qui malheureusement n'est diffusée que sous forme d'image :
Comment bien porter son masque
À faire
- Avant de mettre ou enlever le masques, lavez-vous les mains avec de l'eau et du savon ou une solution hydro-alcoolique.
- Pour le mettre :
- Tenez le masque par les lanières élastiques.
- Ajustez le masque de façon à couvrir le nez, la bouche et le menton.
- Pour l'enlever : décrochez les lanières élastiques pour décoller le masque de votre visage.
- Il faut changer le masque :
- Quand vous avez porté le masque 4h.
- Quand vous souhaitez boire ou manger.
- Si le masque s'humidifie.
- Si le masque est endommagé.
À éviter
- Évitez de le toucher ou de le déplacer.
- Ne le mettez jamais en position d'attente sur le front ou sur le menton.
- Ne mettez pas le masque dans votre poche ou votre sac après l'avoir porté. En attendant de le laver, isolez-le dans un sac plastique.
- Attention : si vous êtes malade, ce masque n'est pas adapté. Demandez l'avis de votre médecin.
- Ce masque n'est pas destiné au personnel soignant.
Comment entretenir son masque
- Lavez le masque à la machine avec de la lessive. Au moins 30 min à 60°C minimum.
- Utiliser un sèche-linge ou un sèche-cheveux pour sécher votre masque, ou encore, le faire sécher à l'air libre sur une surface désinfectée.
Attention particulière
Ce masque ne remplace pas les gestes barrières. Il ajoute une barrière physique, lorsque vous êtes en contact étroit avec d'autres personnes.
- Lavez-vous très régulièrement les mains.
- Toussez ou éternuez dans votre coude ou dans un mouchoir.
- Utilisez un mouchoir à usage unique et jetez-le.
- Saluez sans se serrer la main, évitez les embrassades.
- Respecter une distance de 1 mètre.
Il est vraiment bien ce site !
À lire, relire et surtout à diffuser. L'information est vraiment très claire.
Y'a une liste de tuto et tout, les arguments sont présentés. Vraiment bonne démarche pédagogique ; ce dont on a besoin actuellement.
J'aime particulièrement le tuto à base de tee-shirt + la paire de ciseaux ; et basta.
Et aussi j'aime bien l'échelle protéger les autres / se protéger avec les différents gestes barrières (qu'il faut cumuler) au mieux.
Transcription :
Rester à la maison > Porter un masque barrière / EAP > Rester à un 1m de distance les uns des autres > Ne pas se serrer la main > Éternuer dans son coude ou un mouchoir jetable > Se laver les mains > Porter un masque chirurgical/N95/FFP*
Enfin, ce que j'ai lu hier et que je trouve pertinent : en complément de "porter un masque sera toujours mieux que ne pas porter de masque du tout" ; je me poses beaucoup de question sur le bon matériau (outre le fait que l'on sait déjà que cela doit couvrir nez+bouche+menton) ; finalement les problèmes avec des masques DIY ne sont pas tellement dans le modèle, la couture ou le matériau mais plutôt dans la manipulation.
Alors on se fait un masque, oui ; mais surtout on l'utilise correctement, c'est à dire :
Avant la sortie
- Je me lave les mains avec de l’eau et du savon ou avec une solution hydro-alcoolique
- Je ne manipule l’écran que par les lanières (pas de contact avec l’EAP pour ne pas l’humidifier)
- J’installe l’EAP avant de sortir de chez moi
- Pour bien ajuster, il est recommandé de ne pas avoir certains types de barbes !
Pendant la sortie
- Je ne touche pas l’écran lorsqu’il est en place (s’il a bougé, vous pouvez uniquement le déplacer en jouant sur les lanières, pas en touchant la partie externe).
- Je ne le déplace pas sur le front ou le menton (zones du visage à considérer comme potentiellement souillées, et donc l’écran pourrait remonter ces germes vers votre bouche)
- Idéalement, je ne l’enlève pas quand je suis à l’extérieur (il y a un risque de transmission du virus si les mains touchent la bouche ou le nez).
- L’EAP doit toutefois être changé dans les situations suivantes : après 4h, pour boire-manger, si le masque est humidifié (pluie, éternuements répétés…), si le masque est endommagé.
Après la sortie
- Je me lave les mains avec de l’eau et du savon ou avec une solution hydro-alcoolique avant de toucher l’EAP.
- Je n’enlève jamais l’EAP en présence d’autres personnes. Je retire l’EAP par les lanières (sans toucher la face externe, à considérer comme contaminée), en limitant le contact avec la partie exposée (externe) de l’écran.
- Je me lave à nouveau les mains au savon ou à la solution hydro-alcoolique après le retrait.
Devenirs possibles de l’EAP après l’utilisation
- Soit je le jette à la poubelle immédiatement s’il est à usage unique.
- Soit je le stocke dans un sac plastique ou une boîte hermétique (à nettoyer ensuite a l’eau de javel) si je ne peux pas le désinfecter aussitôt. Ne pas le mettre dans sa poche ou son sac.
- Soit je le désinfecte s’il est en tissu réutilisable : je peux le passer le laver à 60° pendant 30 minutes avec un détergent, idéalement en machine à laver, possiblement à la main (réf de l’ECDC, le virus est inactivé après 30 minutes à 56°).
- Il faut ensuite le faire sécher au sèche-linge, sèche-cheveux ou à l’air loin de toute source de contamination. Idéalement le séchage doit être fait rapidement (idéalement dans les 2 heures), pour éviter la prolifération de levures sur ce tissu à remettre ensuite sur votre visage. Après plusieurs cycles, les fibres vont se resserrer et le masque va devenir moins respirable : il faut en changer régulièrement.
J'ai encore relu ce document qui semble être la seule source officielle concernant les différents types de tissus.
- via https://www.gouvernement.fr/fabriquer-un-masque-tutoriels-et-recommandations
- puis https://masques-barrieres.afnor.org/home/faire-mon-masquebarriere
Problème, outre les erreurs existantes dans le tableau, la mise à disposition uniquement en pdf alors qu'un tableau aurait permis de filtrer plus facilement, et outre les difficultés de compréhension des termes concernant la classification des matériaux. J'ai essayé de chercher le tissu ayant servi pour la confection de mon masque 3-plis 1 couche, à savoir un jeans 100% coton (PES signifant PolyESter).
Alors, ce n'est pas du "jersey", ni du "non-tissé", je penche plutôt pour un "sergé" ; probablement dans les 330g/m². Je trouve donc les références suivantes :
42
: 1 couche, 120g, PES = conforme43
et suivant : idem que42
mais en multi-couche = non-conforme48
: 1 couche, 160g, coton = conforme49
: 1 couche, 100g, PES = non-conforme50
: 2 couches : coton160g+PES100g = non-conforme195
,199
: 3 couches = non-conforme201
: 2 couches : coton160g+PES115g = non-conforme647
: 1 couche : 35%coton/65%PES 200g = conforme
Donc j'en conclus :
- En sergé, il ne faut qu'une seule couche.
- Elle ne doit pas être trop fine. Quid si trop épaisse pour la respirabilité ? Il y a par exemple
125
avec 2 couches en jersey de 210g 100% coton qui est conforme ; mais le124
à 2 couches de 280g ne l'est pas (mais pas à cause de la respirabilité…). - Le mélange coton PES+coton semble OK.
Je vais devoir me fabriquer d'autres masques prochainement ; et je compte donc rester sur ma formule : 3 plis, 1 couche, toile de jeans "standard".